Le seul intérêt à vivre est de croire à la vie, de l'aimer et de mettre toutes les forces de son intelligence à la mieux connaître,disait Émile Zola. Un archéologue et écrivain belge, Albert d'Otreppe de Bouvette (1787-1871), a écrit :
Retranchez de la vie vos heures de sommeil, et vous la réduirez d'un tiers. Et vous, oisifs du siècle, comptez vos heures d'ennuis, et vous verrez ce qui vous reste pour les plaisirs. Ne supputez donc pas la durée de la vie par le nombre d'années, mais par l'exercice des facultés, les jouissances intimes de l'âme, les plaisirs de l'esprit et du cœur. Vivre, c'est sentir, c'est penser, c'est aimer, et lorsque ces choses sont absentes dans une vie, vous ne vivez pas, vous végétez, et alors vous pouvez inscrire ces mots sur la pierre tombale d’un homme : Tel fut enterré ici à cent ans qui mourut au berceau. Donc, cet homme n'a rien connu, il n'a rien senti de la vie : il est mort en naissant.
Aimez la vie, la vie vous aimera.
La vie c'est un livre qu'on aime, c'est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu'on tient bien dans sa main, un banc pour se reposer le soir devant sa maison.
L'important dans la vie n'est pas ce qu'on aime, c'est d'aimer.
Pour aimer la vie paisible et domestique il faut la connaître ; il faut en avoir senti les douceurs dès l'enfance.
Passer sa vie à aimer et à penser, c'est la véritable vie des esprits.
La vie entière est employée à s'occuper des autres ; nous en passons une moitié à les aimer, l'autre moitié à en médire.
Si nous trouvons la vie mauvaise et dure, il faut l'aimer cependant, et la réaliser meilleure.
Mon enfant, il faut aimer la vie, et travailler pour qu'elle aime chacun de nous.
On aime la vie, mais le néant ne laisse pas d'avoir du bon.
Aimer, inventer, admirer, voilà ma vie.
Aimer, prier, chanter, voilà toute ma vie.
On ne peut aimer que si l'on est ivre de vie.
La plus grande douceur de la vie, c'est d'admirer ce qu'on aime.