Il n'y a pas de plus grand bonheur que de payer ses dettes !
Le scandale des animateurs-producteurs : ce ne sont pas eux qui sont trop payés, ce sont les téléspectateurs qui ne le sont pas assez.
Un mauvais payeur est rarement un honnête homme.
Le bonheur, avare de sa nature, ne paye que par de petits acomptes.
Le cœur ne se donne que parce qu'il ne peut se vendre. Il n'y a pas assez d'or pour payer un seul cœur humain !
Si votre débiteur a de la peine à vous payer, donnez-lui du temps.
Le bonheur vient presque toujours inopinément et gratis, alors que nous payons les embêtements au poids de l'or.
Il est peu de bonheurs ici-bas qui ne se payent. Sachons en accepter le prix après en avoir joui et sans marchander avec la vie.
Tous nos bonheurs se payent pour ainsi dire. Il y a peu de nos joies qu'il ne faille acheter cher, mais quand nous devrions souffrir autant que nous aurons joui et plus encore, combien cela ne vaut-il pas mieux que de ne rien sentir, que de ne rien aimer !
Qui paie ses dettes n'amasse pas mousse.
Pour le peuple, payer ses dettes est un devoir auquel nul ne peut échapper, qu'il s'agisse des dettes qu'on a faites chez l'épicier ou des dettes qu'on a à l'égard de la société.
Luxe : Se payer la tête des imbéciles est le seul qui ne nécessite pas de fortune personnelle.
La délicatesse en est souvent pour ses frais, mais elle les paie de bon cœur.
Une dette est un boulet que l'on traîne au pied, on la paye avec usure.
La magnifique invention du crédit permet d'avoir tout sans payer lorsqu'on ne possède rien.
L'applaudissement ne paie pas une âme fière quand elle ne peut pas s'applaudir elle-même.
Toutes les fois que nous nous payons de mots, nous faisons injure à notre intelligence.
Pour payer leur dette à la terre, les dieux ont créé l'amitié.
Il y a souvent autant de fierté que de générosité à payer généreusement ce qu'on doit.
Personne comme nos folies pour se faire payer capital et intérêts.
Tous les bonheurs se paient, si tous les malheurs ne se méritent pas.
Qui n'oblige personne est payé de retour, et ne mérite pas qu'on l'oblige à son tour.
Souvent on a payé du bonheur de toute sa vie le plaisir d'émettre son opinion.
Il est agréable de donner de l'argent, il est insupportable de payer.
Lorsqu'il ne peut se dispenser de payer, le vrai avare préfère s'acquitter tout de suite, de même que, dans certaines séparations, l'on souffre moins cruellement quand l'objet aimé est parti que quand il est encore là.
Quand on a une dette à payer, on la paye avec usure.
Ce ne sont pas toujours ceux qui cassent les verres qui les paient.
Plan social : Mesure antisociale imposée par l'imprudence du précédent patron qui a engagé trop de salariés trop bien payés.
ISF : Impôt que l'État perçoit mais auquel il ne peut plus toucher tant il est chargé de symbole pour ceux qui ne le paient pas.
Bénévole : Individu qui exige de n'être pas payé.
Il faut payer sa dîme aux bienséances du monde.
Payer ses dettes vaut bien mieux qu'un sermon.
Jeune couillon, pour trente balles, y va pas aussi s'payer ma gueule !
On paye quelquefois bien cher sa curiosité.
Nous avons été conçus pour nous faire payer les uns aux autres le mal que nous nous faisons.
Chez les antiquaires, ce qu'on paie le plus cher, c'est la cire.
Chez nous, en France, il n'y a que l'ancienneté qui paie. Seulement, ils vous catapultent à la retraite de plus en plus tôt.
Il roule en Cadillac parce que le métro se paie comptant.
Ne payez jamais d'avance, si vous ne voulez pas être mal servi.
Le travail mal payé est la pire des taxes.
Le ski est un sport qui me fait rigoler ! Je ne comprends pas qu'on monte, qu'on descende, qu'on monte, qu'on descende !!! Et en plus, il faut payer.
On paie tous les services qu'on rend.
Les efforts faits finissent toujours par payer.
À chaque jour suffit sa peine, à condition que la paye tombe bien en fin de mois.
Recherche personne désespérée encore capable de payer des impôts, pour payer mes impôts.
Quand on dit d'un artiste comique de grand talent qu'il n'a pas de prix, ce n'est pas une raison pour ne pas le payer sous le fallacieux prétexte qu'il est impayable.
Le Français moyen à la haine du percepteur qu'il rend responsable de tous ses maux. Quand il va régler ses contributions, il dit : « Qu'est-ce que je vais lui briser, au percepteur ; je vais lui dire ce que je pense. », et quand il est devant la caisse, il paie et c'est lui qui dit merci.
Lorsqu'un homme aura travaillé pour vous, payez-lui aussitôt ce qui lui est dû, et ne retenez pas un moment le salaire de l'ouvrier. C'est un grand crime contre la justice et l'humanité, que de différer, de diminuer ou de refuser à l'artisan le prix de ses peines.
Si votre débiteur est dans la misère, ou qu'il ne puisse actuellement vous payer, et qu'il vous conjure d'attendre encore ; n'ayez point le cœur assez dur pour le lui refuser, et pour le dépouiller du peu qu'il a. Lui accorder quelque délai, ce n'est pas seulement humanité et bienfaisance, c'est intérêt propre et amour de nous-mêmes.
Par le temps qui court, il faut remercier ceux qui payent leurs dettes.
À bon payeur on fait bonne mesure?