Ce qui fait le bonheur des gens vils, fait le malheur des gens d'honneur.
Le bonheur et le malheur n'ont pas de porte ; seulement l'homme lui-même les cherche.
Le bonheur et le malheur ont des frontières bien étroites.
L'homme n'apprécie pas son bonheur tant qu'il est heureux ; il n'en connait le prix que lorsqu'il est tombé dans le malheur.
Un bonheur arrive toujours seul ; un malheur ne vient jamais seul.
Au bout de quelque temps le malheur même devient un besoin. (Trop de bonheur finit par lasser.)
Qui est dans le bonheur plaint rarement les malheurs d'autrui.
Jamais malheur n'arrive à l'un sans que bonheur n'advienne à l'autre.
Malheur jamais seul ne vient, et peu le bonheur advient.
Le bonheur a beaucoup d'amis, le malheur en compte peu.
Sois modeste dans ton bonheur, le malheur arrive vite.
À ceux qui font le bien, il arrivera cent bonheurs ; à ceux qui font le mal, il arrivera cent malheurs.
Si le bonheur est dans ta maison ne te réjouis pas trop, car le malheur est à ta porte.
Pour goûter véritablement au bonheur, il faut avoir connu le malheur.
Les uns ont du bonheur, les autres du malheur.
Le bonheur et le malheur sont proches voisins.
Chacun est l'artisan de son bonheur, ou de son propre malheur.
Le malheur est double quand il succède au bonheur.
Le bonheur porte le malheur sur le dos.
Au plus beau soleil succèdent souvent les plus sombres nuages.
Quand le bonheur monte, le malheur descend, et vice-versa.
Qui a une heure de bien, il n'est pas toujours malheureux.
Il n'y a pas de bonheur sans nuage.
Point de bonheur sans mélange ; là même où l'on ne le voit point, souvent habite le chagrin.
Le malheur peut être un pas vers le bonheur.
Le malheur des uns fait le bonheur des autres.