Bienheureux est celui qui au bonheur en prend sa part,
Quand quelqu'un devient heureux il veut que tout le monde partage son bonheur ; il cherche à soulager ceux qui souffrent ; il vient au secours des pauvres ; il voudrait répandre partout la joie, la gaieté et le contentement.
Bienheureux est celui qui au bonheur en prend sa part.
Sans la paix de l'âme, il n'est pas de bonheur possible.
Aimez le travail, il est la source du bonheur et de la santé.
Qui désire arriver au bonheur en prend rarement le chemin.
Puisque le travail conduit au bonheur, travaillons avec zèle.
Le bonheur est une ombre qui fuit toujours devant nous.
Ce qui fait le bonheur de l'un fait rarement le bonheur de l'autre.
De même que les grenouilles vont dans le fossé et les poissons dans l'étang rempli d'eau, le bonheur vient se donner tout entier à l'homme qui persévère.
Le bonheur court dans la maison de l'un et s'enfuit de celle de l'autre.
Un bonheur continu rendrait l'homme superbe.
Tout notre bonheur est en nous, mais faut savoir l'y trouver.
Le vrai bonheur de l'homme est dans son caractère.
Chacun est la cause de son propre bonheur.
Le bonheur qui vient après l'affliction est comme la lampe qui brille dans l'obscurité de la nuit ; mais l'homme qui de l'opulence tombe dans la pauvreté, quoiqu'il ait encore la forme humaine, n'est plus cependant qu'un corps sans vie.
Qui trouve son bonheur en lui-même fait peu d'estime de celui qui peut venir d'ailleurs.
Quand vient le bonheur de la maison, le bonheur de l'univers arrive en même temps.
Le bonheur, si fragile, est une potiche posée sur le nez d'un mandarin enrhumé.
Le bonheur est un petit oiseau.
Le bonheur est un cristal qui se brise au moment de son plus grand éclat.
Jamais un homme méchant n'a savouré le bonheur.
Le bonheur arrive à ceux qui rient.
Qui veut faire le bonheur des autres a déjà fait le sien.
Le bonheur ne nous arrive pas parce que nous nous plaignons des malheurs de la vie.
Ne te fie pas au bonheur présent : souvent le zéphyr est suivi de l'aquilon.
Le bonheur est le fruit du travail.
Le bonheur le plus parfait a un terme, et la volupté la plus pure s'évanouit.
Le bonheur ouvre les bras et ferme les yeux.
Imaginer un bonheur pur, c'est vouloir un repos sans nuages.
Tout bonheur en ce monde vient de l'ouverture aux autres ; toute souffrance vient de l'enfermement en soi-même.
Le bonheur est une chose qui n'existe pas, et pourtant, un jour il cesse d'exister.