Ce qui fait le bonheur de l'un fait rarement le bonheur de l'autre.
Proverbe français ; Le dictionnaire des proverbes et idiotismes français (1892)
Quand quelqu'un devient heureux, il veut que tout le monde partage son bonheur ; il cherche à soulager ceux qui souffrent ; il vient au secours des pauvres ; il voudrait répandre partout la joie et le contentement.(Maxime hébraïque)
Ce qui fait le bonheur de l'un fait rarement le bonheur de l'autre.
De même que les grenouilles vont dans le fossé et les poissons dans l'étang rempli d'eau, le bonheur vient se donner tout entier à l'homme qui persévère.
Le bonheur court dans la maison de l'un et s'enfuit de celle de l'autre.
Un bonheur continu rendrait l'homme superbe.
Tout notre bonheur est en nous, mais faut savoir l'y trouver.
Le vrai bonheur de l'homme est dans son caractère.
Chacun est la cause de son propre bonheur.
Le bonheur qui vient après l'affliction est comme la lampe qui brille dans l'obscurité de la nuit ; mais l'homme qui de l'opulence tombe dans la pauvreté, quoiqu'il ait encore la forme humaine, n'est plus cependant qu'un corps sans vie.
Qui trouve son bonheur en lui-même fait peu d'estime de celui qui peut venir d'ailleurs.
Quand vient le bonheur de la maison, le bonheur de l'univers arrive en même temps.
Le bonheur, si fragile, est une potiche posée sur le nez d'un mandarin enrhumé.
Le vrai bonheur est fait pour les cœurs vertueux et bons.
Le bonheur est un cristal qui se brise au moment de son plus grand éclat.
Jamais un homme méchant n'a savouré le bonheur.
Qui veut faire le bonheur des autres a déjà fait le sien.
Le bonheur ne nous arrive pas parce que nous nous plaignons des malheurs de la vie.
Ne te fie pas au bonheur présent : souvent le zéphyr est suivi de l'aquilon.
Le bonheur le plus parfait a un terme, et la volupté la plus pure s'évanouit.
Le bonheur ouvre les bras et ferme les yeux.
Imaginer un bonheur pur, c'est vouloir un repos sans nuages.
Tout bonheur en ce monde vient de l'ouverture aux autres ; toute souffrance vient de l'enfermement en soi-même.
Le bonheur est une chose qui n'existe pas, et pourtant, un jour il cesse d'exister.
Pour bien goûter le bonheur, il faut avoir été malheureux.
Le bonheur est un spectre, il s'évanouit lorsqu'on croit le saisir.
Le bonheur est toujours un songe que l'on a fait sans dormir.
Dans la main de Dieu est le bonheur de l’homme.