Au jeu il n'y a pas de fraternité.
Jeux de chat, larmes de souris.
De l'argent du jeu, de l'eau entre les doigts.
Si tu tiens à ta tête, ne pousse pas le jeu au-delà d'un rouble.
Le meilleur jeu, c'est celui qui dure le moins.
Le jeu nous dérobe trois excellentes choses : l'argent, le temps et la conscience.
Ce que l'un perd au jeu l'autre le gagne.
À chaque partie sa revanche.
À tout venant beau jeu.
Dieu demandera compte du temps perdu au jeu.
Le beau du jeu est bien faire et parler peu.
Le jeu est un gouffre qui n'a ni fond ni rivage.
À beau jeu, beau retour.
Qui veut manger à la table des grands doit être de tous leurs jeux.
Il perd et argent et temps, qui perd à jeu qu'il n'entend.
Il parie bien et perd peu, qui parie sans mettre au jeu.
L'amour, le jeu et la fortune, ont leur haut et leur bas.
La grande règle est d'exhorter les hommes sur trois points : de s'abstenir du vin, de s'éloigner de la volupté, et de ne pas hasarder de l'argent au jeu.
Jeu où il y a dommage ne vaut rien.
Appelle un témoin dans tes jeux, même avec un frère.
Tout beau jeu doit durer peu.
Miser au jeu se peut quand il reste de quoi manger.
Le plus malin tire son épingle du jeu.
Au bout du jeu voit-on qui a gagné.
Jeu de main jeu de vilain.
Le jeu, la femme et le vin friand, appauvrissent l'homme en riant.
Le jeu où il y a dommage ne vaut rien.
À bon jeu bon argent.
On ne change pas les règles en cours de jeu.
Qui en jeu est jouer lui convient.
Faites bonne mine à mauvais jeu.
Le joueur n'a pas besoin de cordon à sa bourse.
Ce qu'on gagne au jeu se perd dans la débauche.
C'est quand le jeu va pour le mieux qu'il faut s'en aller.
Il est de jeux où mieux vaut être heureux qu'habile.
Au jeu, on ne connaît ni père ni fils.
Le jeu n'en vaut pas la chandelle.
On perd trois choses au jeu de boule : son temps, son argent et ses jurements.
Heureux aux jeux, malheureux en amour.
Contre mauvais jeu, mauvaise riposte.
La vie est un jeu de cartes : Dieu les bat, et le Diable les distribue.
Le trop, comme le trop peu, nuit à tout jeu.