Les livres n'épuisent pas les paroles, les paroles n'épuisent pas les idées.
Les années en savent plus que les livres.
Celui-là meurt à bon droit déshonoré qui n'aime pas les livres et n'y croit.
On ne peut pas juger d'un livre à sa couverture.
De ce qu'on ne sait pas on pourrait faire un grand livre.
Il n'est pas de livre plus fermé que le cœur d'une femme.
Le musicien est magicien ; le poète est devin ; le livre fait vivre.
On ne juge pas de la science d'un auteur par la grosseur du livre.
La société avec les livres vaut mieux que la société avec des sots.
Un homme lettré en vaut deux.
La table est bien couverte quand elle est bien tapissée de livres.
Les bons livres font les bons clercs.
Le bon livre en vieillissant rajeunit et fleurit.
Il a deux sciences qui mènent à la gloire : La science des armes et celle des livres ; la première est ridicule dans la vieillesse, la seconde est toujours respectable.
Un choix de bonnes pensées est un livre toujours nouveau.
On prête facilement un livre, et il se perd de même.
Autant de bouches, autant de livres.
Un bon livre, un bon discours peuvent faire du bien, mais un bon exemple parle bien plus éloquemment au cœur.
Tel est le sort fâcheux de tout livre prêté ; souvent il est perdu, toujours il est gâté.
Lis beaucoup de livres et souviens-toi de ce que tu as lu.
Plus une nation a de bons livres, plus on lui en fait lire de mauvais.
En ce temps-ci, le meilleur compagnon est un bon livre.
La place la plus précieuse dans le monde est la selle d'un coursier rapide ; l'ami le plus précieux est un bon livre.
La femme laborieuse range toujours ses meubles ; le lettré studieux dérange continuellement ses livres.
Quand tu lis un livre, ne tourne pas seulement les feuilles, mais cueille le fruit.
Si tu veux te survivre honorablement, laisse après toi une famille saine et un bon livre.
La nuit, fais ton oreiller du livre dont la lecture t'a occupé utilement pendant le jour.
Le vice s'apprend sans livres.
Ceux qui étudient les livres ne désirent pas tous devenir magistrats, mais leur esprit désire approfondir la doctrine.
Si l'on veut étudier les livres des saints hommes, il faut connaître les lois et les mœurs.
Lire un livre que l'on ne connaît pas, c'est comme si l'on possédait un bon ami ; revoir un livre déjà lu, c'est comme si l'on retrouvait un ancien ami.
Un livre est un ami qui ne trompe jamais.
Si les saints ne nous avaient pas laissé des livres, les sages préceptes et les belles actions des anciens hommes auraient disparu.
Deux choses inutiles : pêcher sans hameçon, et apprendre sans livres.
Le livre des « peut-être » est un fort gros volume.
Vouloir devenir savant sans livres, c'est puiser de l'eau avec un crible.
L'arrivée du printemps et le retour de l'hiver plient tour à tour le feuillet du livre de notre vie.
Ce qui est inscrit dans l'éternité a précédé ce qui est inscrit dans les livres.
Il faut chercher dans les livres, non ce qui amuse, mais tout ce qui peut utilement se recueillir.
Vouloir apprendre sans livres, c'est puiser de l'eau avec un crible.
Une bonne bibliothèque est le trésor des remèdes de l'âme.