Les soins d'une nourrice ne valent pas ceux d'une mère.
Désires-tu la fille, regarde d'abord la mère.
Le giron maternel est pauvre, mais il est chaleureux.
Avant de demander une fille en mariage, observe premièrement le caractère de la mère.
Souvent un frère pour toi est quelqu'un que ta mère n'a pas enfanté.
Amour de mère est toujours nouveau.
Chaque tortue, aux yeux de sa mère, passe pour une gazelle.
Tendresse maternelle, toujours se renouvelle.
Le cœur d'une mère est le miracle de l'amour.
Les pleurs des enfants font chanter les mères.
Qui veille sur la mère veille aussi sur l'enfant.
La mère le dit, le père le croit, un fou en doute.
Si je connaissais un mot plus tendre que le mot « tendresse » pour exprimer la douceur des genoux d'une mère, je l'emploierais.
Une mère instruite peut instruire elle-même ses enfants.
Le regard d'une mère est celui d'une reine ; il ordonne, il blâme, il loue.
Assiste avec amour et vénère ta mère ; songe combien pour toi sa douleur fut amère.
L'amour d'une mère ne vieillit jamais.
Comme du père la trace, le fils souvent va suivant ; ainsi la fille, la mère, pas à pas va poursuivant.
De mère infâme rarement naît une fille d'honnêtes mœurs.
La mère est une divinité, le père un trésor.
On ne parle jamais assez bien de sa propre mère ni du ciel.
Tout peut s'acheter, sauf une mère et un père.
La dignité de mère est destinée à remplacer la beauté d'épouse.
Le paradis est sous les pieds des mères.
Honore le sexe de ta mère, ne dis pas du mal des femmes.
Tout bouzier est gazelle aux yeux de sa mère.
Celui qui a une mère n'a pas à pleurer.
Une mère ne peut s'empêcher de venir en aide à son fils.
Une femme reste une femme lors même qu'elle serait la propre mère.
Ce que tu n'apprends pas de ta mère, tu l'apprends du monde.
Rends au double le pain que ta mère t'a donné ; porte la comme elle t'a porté.
Aussi grand que soit le baobab, il a eu un pépin pour mère.