La superstition est l'écueil de la religion.
La religion d'un homme, ce sont ses actions et ses paroles.
Qui embrasse deux religions n'en a aucune.
Autant de moines, autant de religions.
Dieu n'a dispersé les Israélites que pour répandre leurs croyances au milieu des nations.
La religion maintient l'homme comme le mors maintient le cheval.
Les préceptes religieux n'ont été prescrits que pour épurer les hommes.
Celui qui honore la Loi (la religion) sera lui-même honoré des hommes, et celui qui la traite avec mépris sera lui-même méprisé des hommes.
La foi religieuse de l'homme ignorant ne va pas au-delà de ses clavicules.
Les gens suivent la religion de leurs rois.
Celui qui sacrifie ses penchants et ses passions à la religion, c'est comme s'il avait offert des holocaustes au Seigneur, en ce monde et au monde futur.
Quand vous instruisez le fils de votre ami dans la religion, l'Écriture vous confère sur lui des droits de père.
Celui qui embrasse deux religions n'en a aucune.
Celui qui a accepté le fardeau de la religion ne doit pas se lasser de le traîner.
La religion veille sur les crimes secrets, les lois veillent sur les crimes publics.
Qui soutient les représentants de la religion a autant de mérite que s'il offrait les prémices à Dieu.
Au moment de la mort, ne pense à avoir secours de quiconque, excepté de la religion.
Si Dieu l'avez voulu, tous les hommes auraient la même religion, soyez donc tolérants.
La tolérance seule peut réunir dans son sein ceux que la religion divise.
La tolérance civile et religieuse donne le vrai syncrétisme.
La religion soulage plus de malheureux que la philosophie.
Il ne faut jamais plaisanter de la religion ni des malheureux.
Il n'est pas de maux qui ne puissent se soulager par la religion.
Point de vertu sans religion, point de bonheur sans vertu.
La religion se persuade et ne se commande pas.
La religion est essentiellement consolante, et les hommes l'environnent d'horreur.
Il n'appartient qu'à la religion de faire supporter de grandes infortunes.
La religion ne doit pas être la cause d'impiétés.
La religion a pour piédestal l'humanité.
La religion est la pratique de la vertu et l'adoration de Dieu.
La religion est une société entre l'homme et Dieu.
À chaque vallée ses traditions ; à chaque monastère son lama ; à chaque lama sa religion.
Le polygame ressemble à celui qui pratique plusieurs religions : sa foi s'éparpille et se perd.
La justice est la moitié de la religion.
Tel a la croix en la poitrine qui est le diable en action.