L'orgueil est un ressort, ne vaut-il pas mieux tenter de l'utiliser que de le rompre ?
Citation de Diane de Beausacq ; Les pensées et maximes de la vie (1883)
L'orgueil est un ressort, ne vaut-il pas mieux tenter de l'utiliser que de le rompre ?
Un gouvernement doit savoir utiliser tous les mérites, et donner à chacun le poste où il peut rendre le plus de services à la société.
Il faut tous les jours utiliser chaque minute, se dire que chaque moment a sa valeur, que chaque acte a mille conséquences, savoir risquer à tout instant son avenir et sa vie.
L'homme supérieur sait utiliser la fatalité, comme le marin utilise le vent, quelle que soit sa direction.
Je suis du groupe des dévoués, des niais, des sots, que chacun utilise mais dont nul ne se soucie, qu'on sait trouver pour toutes les corvées et qu'on délaisse pour tout le reste.
La vie est trop courte pour la dissiper en niaiseries, en nivèleries, en billevesées plus creuses qu'un nuage, et plus insipides que l'eau d'un marais. C'est se remplir de néant que d'occuper ainsi ses heures. Il faut les utiliser au mieux, et aller droit au but.
Détestant l'action, il me faudrait vingt jours de réflexion pour bien utiliser dix jours de vacances, et j'aurais besoin de deux vies préparatoires pour en vivre une à mon gré.
Beaucoup d'êtres utilisent les autres pour se supporter tout en croyant les aimer.
Avec sa gueule de cul, elle doit utiliser le papier hygiénique comme démaquillant.
Il y a une foule de gens obsédés par l'idée d'utiliser un temps dont ils pourraient très bien ne rien faire.
La connerie, c'est comme le judo, il faut utiliser la force de l'adversaire.
La stérilisation des instruments de chirurgie n'entraîne pas, pour autant, la stérilité du chirurgien qui les utilise.
La persévérance utilise le passé, le présent et l'avenir pour arriver à ses fins.
Utilisons nos regards pour comprendre et savoir.
Telles blessures du corps fortifient l'âme lorsqu'elle sait utiliser la douleur contre ses faiblesses.
Pour guérir des malades imaginaires, on utilise des remèdes imaginaires.
À déplorer le passé, on use vainement des forces qu'on a le devoir d'utiliser pour l'avenir.