Que Dieu verse beaucoup de biens sur nos amis, mais pas assez pour qu'ils nous méconnaissent.
Biens ne sont pas rentes.
Les biens du monde ont un défaut qui seul peut te les faire apprécier à leur juste valeur, c'est qu'ils sont périssables.
Quand les biens viennent, les dents s'en vont.
On ne s'efforce d'amasser des biens que parce qu'on ne jouit plus de ce qu'on a.
On n'est jamais riche si on mêle les biens d'autrui avec les siens.
Les biens superflus ne valent pas la fatigue qu'ils donnent.
Où va la charrue va la dîme (Ancien impôt sur les récoltes).
Toutes charges et impôts frappent les biens.
Mieux vaut gaudir de son patrimoine que le laisser à un ribaud moine.
Le riche qui ne fait jouir les savants de ses biens ne sera jamais heureux.
Que les biens de votre prochain vous soient aussi précieux que les vôtres.
Quand on offre biens et services, ce n'est pas petit office.
Qui laisse ses biens à l'abandon, perd moisson et maison.
Les grands biens, les honneurs, changent les saints en diables.
Les biens du débiteur sont le gage de ses créanciers.
Les biens de prêtre et paille de blé noir ne sont bons qu'à faire de la cendre.
Plus on a de biens plus on a désir d'amasser rentes et argent.
Les biens qui viennent promptement se dissipent de même.
Si les dépôts confiés de biens et d'argent se perdent, fais de ta poche ton magasin.
Gelée d'un mois, bon hiver, et les biens met à couvert.
Les biens qu'on ramasse au râteau avec le vent s'en iront tôt.
Les biens de mineurs, paille de blé noir, vont chaque jour diminuant.
Les biens qui proviennent des prêtres ne peuvent prospérer que s'ils retournent aux pauvres.
De grands biens ou de grands maux accompagnent toujours les richesses et le luxe.
Les biens viennent, les biens s'en vont comme la fumée, comme toute chose.
Tant plus de biens, tant encore ; tant plus de biens, tant meilleur.
Qui mit en réserve ses biens les trouva le matin quand il se leva.
Celui qui n'use pas de ses biens est comme s'il n'avait pas.
La science vous fait habitant de tous les pays, vous met au niveau de tous les hommes, et vous procure plus de biens que les richesses.
Garde-toi de prendre l'argent pour les biens de ce monde : ce n'est que le moyen de se les procurer.
Sois le fermier de tes biens, l'instituteur de tes enfants.
Les richesses de l'homme ne sont que des biens d'usufruit, et son corps un habit d'emprunt.
L'homme trop attaché aux biens de ce monde est un captif dans un palais somptueux ; le philosophe est libre dans tout l'univers.
Si tu veux amasser des biens, quand tu en gaspilleras un, épargnes-en deux.
L'excessive inégalité des biens est la source de tous les malheurs sociaux.
Les hommes font les biens, mais non les biens les hommes.
Tous les faux biens produisent de vrais maux.
La jouissance des biens en diminue le prix.
Les biens ne rendent heureux que suivant l'usage qu'on en fait.
À défaut de Parents, l'Etat tous tes biens prend.
L'avare est privé des biens qu'il possède, autant que le malheureux de ceux qu'il n'a pas.
Les biens, lorsqu'ils arrivent, écrasent celui qui ne sait pas les soutenir.
Les biens possédés en commun dépérissent ordinairement.
Les grands besoins naissent des grands biens, et souvent le meilleur moyen de se donner les choses dont on manque est de s'ôter celles qu'on a.
Les biens dont on hérite se dissipent aisément.
Plus on laisse de biens à ses héritiers, moins on laisse de regrets.
L'avarice est une cuve sans biens.
Le luxe dissipe tous les biens qui sont à sa disposition.
La prudence vaut tous les biens.
Loin de ses biens, près de sa ruine.