Ce sont les mains noires qui font manger le pain blanc.
Rompre ne dois un œuf mollet avant que ton pain soit bien prêt.
Où pain faut, tout est à vendre.
Quand le pain est arrivé, souvent les dents sont tombées.
Mieux vaut un demi-pain que rien.
Le pain du paresseux est pétri avec de l'eau froide.
Le pain est un père ; l'eau est une mère.
Du pain bis, trempé dans un air pur, fait plus de sang que du filet de bœuf mangé dans une chambre fermée.
Celui qui a du pain assuré pour le lendemain mange avec plus de contentement que celui qui ne sait pas encore comment il se nourrira le jour suivant.
Tamis trop fin et pain tendre ont toujours fait une mauvaise maison.
Le pain, quand il n'est pas accompagné de quelque chose de gras, s'en va sans mesure.
Tel se met en peine de farine que son pain est cuit.
Avril froid pain et vin donne.
Beaucoup d'enfants et peu de pain, triste vie !
Changement de corbillon donne appétit de pain bénit.
Changement de corbillon fait trouver le pain bon.
À côté d'un pain il naît un homme.
On se rassasie aussi bien avec du pain noir qu'avec du pain blanc.
Le pain acquis par le travail seul peut être savouré.
Ne sait que vaut pain sur terre, qui n'a connu la guerre.
Nul ne sait ce que le pain vaut, qui ne prend peine quand il faut.
Il ne faut jamais gaspiller le pain du bon Dieu.
Qui tout mange le soir, le lendemain ronge son pain noir.
Au défaut de pâtisserie, mange du pain.
Le seigle est pour toutes les bouches ; le froment pour les délicats et les riches.
Sème-moi dans la cendre, dit le seigle, et tout ira bien.
Le pain est notre père, la bouillie notre mère.
L'homme ne vit pas seulement de pain.
Dans le besoin, le paysan mange la saucisse sans pain.
Prête-moi un pain, demain je t'en donnerai un autre à sa place.
Quand vient Jean son morceau de pain l'accompagne. (Les enfants ont toujours faim.)
Mieux vaut tourte de pain sur la table que miroir sur la fenêtre.
Le pauvre demande du pain, et le riche demande l'appétit.
Un maître est bon quand il est nouveau, mais le vin et le pain sont bons quand ils sont vieux.
Mieux vaut du pain sec chez soi qu'un rôti chez autrui.
À eux sept, ils ont deux pains, et moi, le pauvre, un seul.
L'espérance est le pain du pauvre.
Pain de jeunesse se pétrit en jeunesse.
Pain d'autrui a toujours bon goût.
Pain dérobé réveille l'appétit.
Il est aussi bon que le pain qu'il mange.
Le pain est toujours cher quand l'argent manque.
Le pain défendu réveille l'appétit.
Le pain de noces coûte cher à qui le mange.
Le pain tendre se fait entendre (coûte cher).
Qui vend son fumier vend son pain.
Où il y a du fumier plein la cour, il y a plus d'une miche de pain sur la table.
On ne peut pas faire cuire le pain dans un four refroidi.
Gentilhomme ne mange pas le pain de maïs, mais quand il aura faim, il ne dédaignera rien.
L'affamé loue le pain cru et sans sel.
Toute charité ne se fait pas avec un morceau de pain.
Ne refusez du pain à personne, pas même à celui que vous ne devez jamais revoir.
Il vaut mieux manger du pain de son que de n'en manger pas du tout.
Pain qu'on dérobe et qu'on mange en cachette vaut mieux que pain qu'on cuit ou qu'on achète.
Suave est l'eau volée, délicieux le pain dérobé.
Pour une miche de pain, il arrive que l'homme faute.
Les miettes sont encore du pain.
Terre noire donne pain blanc.
Le pain de la nourrice est plus doux que le gâteau de la mère.
Pain en poche vaut mieux que plume sur chapeau.
De celui dont je mange le pain, je chante aussi la chanson.
Où il y a pain, il y a souris.
Dans ta bouche le pain volé se change en pierre.
On donne toujours du pain à celui qui en a déjà.
Pain frotté d'ail, repas de travail ; ail dans la chair, repas trop cher.
En voyant le chien gros et sain, nul n'est besoin de voir le pain.
Le pain dur, tient le logis sûr.
Qui mange le pain sans pitance, le mange avec trop d'abondance.
Le meilleur pain et le plus salutaire, est le sué pour l'ordinaire.
Après le bon pain, le bon vin.
Qui sème bon grain récolte bon pain.
Qui moissonne et sème soudain, sur chaque sillon perd un pain.
Pain d'un jour, vin d'un an et farine d'un mois.
Pain trop tendre et bois trop vert mettent la maison au désert.
Les mains noires font le pain blanc.
Pain mangé est vite oublié.
Le pain d'autrui a sept croûtes.
Qui mange aujourd'hui son pain blanc mangera plus tard son pain noir.
Du vin, du fromage et du pain, font un bon festin.
Augmente le poids du pain, et tu le vendras bien.
On ne donne pas du pain de huit jours au fils du boulanger.
Chaque jour amène son pain.
Vin trouble, pain chaud et bois vert, acheminent l'homme au désert.
À grand banquet petit pain.
Du pain et du vin sont pour le pauvre un festin.
Selon le pain le couteau.
Tant en Brie qu'en Champagne, il n'a du pain qui ne le gagne.
Le pain du pays est toujours le meilleur.
Du pain et de l'eau, avec cela tu auras la tranquillité.
Le pain dérobé a meilleur goût pour le voleur que le pain acheter.
À bon appétit il n'est point de pain dur.
A mal enfourner on fait les pains cornus.
Un bon métier est un gagne-pain que l'on porte aisément.
Jamais ne vienne demain, s'il ne rapporte du pain.
Le pain ne dispute pas avec le sel.
Pain et eau, mets de soldat.
Le pain coupé n'a point de maître.
S'il pleut en mai, tu auras du pain pour toute l'année.
Un morceau de pain avec amour vaut mieux qu'une poule avec douleur.
Le pain qui sort de la maison du roi n'est jamais mauvais.
Si tu te trouves sans chapon, sois content de pain et d'oignon.
Le pain tombe toujours du côté qui est beurré.
Le pain étranger a neuf croûtes.
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
Qui maudit le pain, maudit sa tête.
Frais mai et chaud juin amènent pain et vin.