Que la religion soit toujours la base de la règle de votre vie ; parlez peu, agissez beaucoup, et accueillez tout le monde avec bienveillance.
Que la protection divine réjouisse ton âme et assure le bonheur de ta religion et de ton cœur ! Que le Créateur du monde te soit miséricordieux. Que la paix et la joie règnent dans ton âme.
Autant de moines, autant de religions.
Dieu n'a dispersé les Israélites que pour répandre leurs croyances au milieu des nations.
La religion maintient l'homme comme le mors maintient le cheval.
Lorsque vous adressant à un Juif ou à un Chrétien, vous voulez exprimer des vœux favorables, dites : Que Dieu augmente votre bien et fasse prospérer votre enfant.
Celui qui honore la Loi (la religion) sera lui-même honoré des hommes, et celui qui la traite avec mépris sera lui-même méprisé des hommes.
Les préceptes religieux n'ont été prescrits que pour épurer les hommes.
La foi religieuse de l'homme ignorant ne va pas au-delà de ses clavicules.
S'aimer les uns les autres, servir Dieu, ne faire aucun mal, est toute la religion.
Celui qui sacrifie ses penchants et ses passions à la religion, c'est comme s'il avait offert des holocaustes au Seigneur, en ce monde et au monde futur.
Quand vous instruisez le fils de votre ami dans la religion, l'Écriture vous confère sur lui des droits de père.
Les gens suivent la religion de leurs rois.
Celui qui embrasse deux religions n'en a aucune.
La religion veille sur les crimes secrets, les lois veillent sur les crimes publics.
Celui qui a accepté le fardeau de la religion ne doit pas se lasser de le traîner.
Qui soutient les représentants de la religion a autant de mérite que s'il offrait les prémices à Dieu.
Au moment de la mort, ne pense à avoir secours de quiconque, excepté de la religion.
Si Dieu l'avez voulu, tous les hommes auraient la même religion, soyez donc tolérants.
La tolérance civile et religieuse donne le vrai syncrétisme.
La tolérance seule peut réunir dans son sein ceux que la religion divise.
Il ne faut jamais plaisanter de la religion ni des malheureux.
La religion ne doit pas être la cause d'impiétés.
La religion a pour piédestal l'humanité.
La religion est la pratique de la vertu et l'adoration de Dieu.
La religion est une société entre l'homme et Dieu.
La religion est essentiellement consolante, et les hommes l'environnent d'horreur.
Il n'appartient qu'à la religion de faire supporter de grandes infortunes.
La religion se persuade et ne se commande pas.
Point de vertu sans religion, point de bonheur sans vertu.
La religion soulage plus de malheureux que la philosophie.
Il n'est pas de maux qui ne puissent se soulager par la religion.
La religion, don du ciel, est utile dans le bonheur comme dans l'infortune.
À chaque vallée ses traditions ; à chaque monastère son lama ; à chaque lama sa religion.
La justice est la moitié de la religion.
Le frère est cher, de quelque religion qu'il soit.
Tel a la croix en la poitrine qui est le diable en action.
Le polygame ressemble à celui qui pratique plusieurs religions : sa foi s'éparpille et se perd.