Parce qu'il est charitable, il ne peut pas devenir riche ; parce qu'il est riche, il ne peut pas devenir charitable.
Celui qui frappe le muezzin ne lui fera pas la charité.
Même si tu as trop d'argent, si tu n'es pas charitable, je t'appelle pauvre.
Tel donne, qui voudrait que les autres ne donnassent point : c'est vanité ; tel veut que les autres donnent, mais ne donne rien : c'est avarice ; un autre donne et désire que les autres donnent aussi : c'est charité ; un quatrième ne veut ni donner, ni que l'on donne : c'est dureté.
C'est un acte de charité que de porter les regards sur la beauté.
La pratique de la charité est supérieure à tous les rituels et à tous les sacrifices.
Celui qui pratique la charité est plus grand que Moïse.
La charité recouvre de nombreux péchés.
La meilleure charité est la justice pour tous.
Celui qui se met à jouer l'aveugle ou le paralytique, pour exciter la charité des passants, finira par être atteint de ces infirmités.
Fais de ton sabbat un jour ouvrable, plutôt que de tendre la main à la charité.
Le monde repose sur trois bases : L'étude de la Loi, le culte et la charité.
Le sel de l'argent (ce qui le conserve), c'est la charité.
Celui qui, dans l'extrême besoin, ne veut pas avoir recours à la charité commet un suicide, et il ne mérite pas qu'on s'apitoie sur lui.
Fais plutôt un travail vil et dégoûtant que de tendre la main à la charité.
La bienfaisance et la charité valent à elles seules autant que l'observation de tous les autres préceptes de la Loi divine.
Si quelqu'un s'efforce d'exercer la charité, Dieu lui en fournira les moyens en lui faisant gagner de l'argent qu'il pourra donner aux pauvres.
La charité n'est récompensée que selon le degré de bonté qu'elle contient.
L'exercice de la charité hậtera l'heure de la délivrance.
Celui qui retranche de sa fortune pour en faire la charité sera sauvé des tourments de l'enfer. L'homme charitable et l'homme avare qui ne fait pas l'aumône peuvent être comparés à deux brebis qui doivent traverser une rivière, et dont l'une est tondue, tandis que l'autre ne l'est pas : la première atteint facilement le bord de la rivière ; mais la seconde est moins heureuse à cause de sa toison épaisse, qui, s'imbibant d'eau, devient si lourde qu'elle empêche la brebis de gagner le bord.
On ne doit pas distribuer en aumônes plus du cinquième de sa fortune. De peur qu'on ne soit réduit à recourir soi-même à la charité.
Celui qui fait la charité en secret a plus de pouvoir auprès de Dieu que Moïse lui-même.
La Loi sacrée commence par un trait de charité et finit trait de charité.
Exercer la charité, prier avec ferveur, amender notre conduite, voilà autant de moyens par lesquels nous pouvons modifier les décrets que la Providence a rendus contre nous.
Celui qui désire ardemment faire la charité et qui s'efforce même de la mettre en pratique, Dieu le mettra à même d'atteindre son but.
Charité commence au logis.
L'homme charitable et l'homme avare qui ne fait pas l'aumône peuvent être comparés à deux brebis qui doivent traverser une rivière, et dont l'une est tondue, tandis que l'autre ne l'est pas : la première atteint facilement le bord de la rivière ; mais la seconde est moins heureuse à cause de sa toison épaisse, qui, s'imbibant d'eau, devient si lourde qu'elle empêche la brebis de gagner le bord.
Qui retranche de sa fortune pour en faire la charité sera sauvé des tourments de l'enfer.
La charité accompagnée d'un langage affable, le savoir avec la modestie, la bravoure unie à la patience, et la fortune jointe à la libéralité, voilà quatre belles et rares qualités.
Quiconque fait la charité dans la discrétion est plus grand que Moïse lui-même.
L'égoïsme met tout au singulier, la charité veut le pluriel.
La justice et la charité, assises près de Dieu, seront les rapporteurs au jour du jugement dernier.
Le plus beau des triomphes est celui de la charité bienveillante sur l'égoïsme.
Si la charité disposait des trésors dépensés par toutes les vanités, il n'y aurait plus de pauvres.
Une maison opulente dont la justice et la charité sont bannies, n'est qu'une montagne stérile qui renferme dans son sein de riches métaux dont on ne peut user.
Celui qui ne connaît pas la charité ne connaît pas Dieu.