Pour un membre de la famille qui fait mal, toute la famille en pâtit.
Un peu de parenté fait bonne amitié.
La parenté est comme les figues : quand on les ouvre, il s'y trouve des fourmis.
La parenté est comme un vêtement d'épines : vous le mettez et il vous pique. Mais vous ne pouvez l'ôter et vous en débarrasser.
La véritable amitié est semblable à la parenté la plus rapprochée.
Voisinage est demi-parenté.
La Gerade (Le droit) ne passe pas le pont de la parenté.
La plus proche parenté hérite de la Gerade (Le droit).
La parenté finit au septième degré.
Plus voisin est coude que main. (C'est-à-dire : sur les degrés de la parenté doit se mesurer la bienveillance).
Il n'y a pas de parenté entre pauvres et riches.
Ventre affamé ne connaît parenté.
Le mensonge n'oblige pas la parenté.
Le mariage suit, la naissance précède.
Une bonne amitié est une seconde parenté.
La parenté ne s'achète pas.
La pauvreté n'a point de parenté.
La sympathie dans les caractères est la plus proche parenté.
La parenté est un réseau de lianes.
Le mariage prend fin, mais jamais la parenté.
Quand l'œil voit son frère, il se réjouit.
Rien ne peut étouffer la parenté.
Là où il y a la parenté, là sont les denrées.
La parenté est une cicatrice.
Les liens de parenté se créent la nuit, dans l'intimité ; les liens de l'amitié se tissent le jour.
Bonne parenté vaut mieux qu'amitié.