La jeunesse est une couronne de roses, la vieillesse une couronne d'épines.
Si la rose du jardin penche vers la maison, à la porte la mort se fait entendre miaou !
Une cour sans femmes est un printemps sans roses.
Qui veut la rose doit souffrir les épines.
Si l'on cueille la rose, si l'on baise son sein, l'épine qu'elle oppose la venge du larcin.
La rose engendre une épine.
Où il y a le plus d'épines sont les plus belles roses.
De l'épine croît la rose, et de la rose croît à nouveau l'épine.
L'amour est une rose, l'amour est une belle rose qui cache ses épines.
Qui veut cueillir des roses ne doit pas craindre les épines.
Cueille la rose, et laisse les épines.
L'épine même est agréable quand on y voit une rose.
La vie de l'homme est semblable à la rose : le matin la voit fleurir, et le soir se défeuiller.
Mentionne la rose, tu sentiras son parfum.
Qui veut cueillir des roses doit s'attendre à être blessé par leurs épines.
D'une haie d'épines sort la rose.
Chaque rose a son parfum, sa beauté, son essence.
On ne bâtit rien avec des pétales de roses.
L'épine croît à côté de la rose.
Au printemps bien sait la rose, en quelles mains elle se repose.
La vie s'en va comme se fane la rose.
On a mille questions à faire sur les roses qui fleurissent en hiver.
La rose n'a d'épines que pour celui qui veut la cueillir.
Il n'est point de roses sans épines, ni d'amour sans un brin de jalousie.
Ne cherche plus la rose qui est passée.
Il y a des roses qui ont cent feuilles, il n'y en a point qui durent cent jours.
La rose à cinq feuilles a une odeur plus fine que la rose à cent feuilles.
II n'y a pas de rose de cent jours.
Quand s'ouvre la saison, la rose met son bouton.
On ne cueille pas deux fois la même rose.
Qui baise la rose épouse l'épine.