Être heureux, sourire, telle doit être la vie : si l'on n'a pas le cœur qui chante, la vie devient très terne,
Les cœurs tendres ne peuvent pas rester seuls ; ils s'attirent, ils s'appellent les uns les autres.
La solitude où j'ai cru trouver un asile contre toi, te laisse seul remplir mon cœur et mon esprit.
Ami, je ne suis ni l'ange gardien ni le mauvais destin des hommes, mais le ciel m'a confié ton cœur. Ami, quand tu seras dans la douleur, viens à moi sans inquiétude, je te suivrai sur le chemin ; mais je ne puis toucher ta main, ami, je suis la Solitude.
La solitude, les oisivetés forcées, nous livrent en proie à nos souvenirs.
L'essentiel dans sa vie est de se rendre utile aux autres, aux idées et aux gens qu'on aime. La solitude, c'est le silence, c'est la nuit, c'est la mort avant la mort. Par instants mon cœur se fond dans ma poitrine, et je pleure. Ces larmes de douleur, que ne les ai-je recueillies ! Je voudrais les boire.
La solitude du cœur est bien plus horrible que celle des déserts ; l'espoir vous soutient dans celle-ci, il vous abandonne dans l'autre.
Il n'est point de solitude plus affreuse que celle de l'homme sans amis.
Un cœur généreux se dessèche au milieu des indifférents qui l'oublient ou le méconnaissent.
Il n'est pas un cœur qui ne cherche quelque guide pour éviter les abîmes.
Dans sa solitude et dans ses désirs, le cœur se tourmente pour jouir de lui-même.
Où la tristesse accompagne l'oubli, la solitude a besoin d'un ami.
Il n'est de pire solitude que celle qu'on éprouve quand on est deux.
La tristesse vient de la solitude du coeur.
La solitude et le sentiment de n'être pas désiré sont les plus grandes pauvretés.
La solitude du cœur rend triste et maussade.
La solitude ne donne au cœur que des passions.
La solitude est la nuit de l'âme, la plus discrète amie de nos larmes.
La solitude est mon plus grand effroi ; je crains l'ennui d'être seul avec moi.
La solitude : douce absence de regards.