Tes vacances sont finies, reprends le joug, rattache le boulet à ton pied. Renonce à la montagne, au grand air, à la rêverie et à la liberté. Galérien de l'enseignement, relâché sur parole, représente-toi à l'appel. — Salut à toi, doux paysage, cher amphithéâtre de coteaux verts et de montagnes blanches, berceau de ma jeunesse, asile de mon âge mûr, je n'ai plus de confidences à vous faire, mais vous voyez un rêveur qui ne vous quitte qu'avec peine, car il ne sait pas ce que sera sa vie dans trois mois, ni demain.