Les 41 pensées et citations sur définir :
Définir signifie poser des limites et toute limite implique un arrêt, une discontinuité, une fin.
Un bienfaiteur est un homme qu'on ne doit jamais chercher à définir que lorsque les apparences sont absolument contre lui.
Deux simples règles de vie facilement applicables au quotidien : Je ne parle plus sur l'autre, et je ne le laisse plus parler sur moi. Pierres angulaires d'une communication vivante et saine. Repères vitaux, pour pouvoir me définir et m'affirmer sans me laisser enfermer dans la passivité, la soumission ou l'opposition.
L'homme a une soif qu'il éprouve sans la comprendre, un désir qu'il ne sait ni définir ni contenter ; il essaie de tout ; insatisfait, il cherche toujours ; il croit aborder, il échoue. Qu'est-ce, si ce n'est la soif de l’infini ?
Il est important de ne pas me laisser définir par les autres (ou un proche) si je veux continuer à pouvoir me respecter. Comme il est tout aussi important d'apprendre à dire non quand la demande de l'autre ne correspond pas à mes valeurs, à mes désirs ou à mes besoins.
Se définir ce n'est pas faire appel à des connaissances abstraites, à des savoirs ou des savoir-faire, cela relève plutôt du savoir-être, du savoir devenir. Cela s'enseigne par le témoignage.
Se définir c'est se situer, se positionner. Cela ne veut pas dire s'imposer, ni convaincre. C'est accepter de moduler, de relativiser son expression, et par là même son positionnement. Dans un monde où les savoirs sont mouvants, les certitudes fugaces et changeantes, les croyances aléatoires, il est important de témoigner… au présent.
Quand je ne sais pas me définir clairement, quand je ne sais pas négocier en moi entre plusieurs désirs ou projets, quand je pense à la place de l'autre, quand je dis pour faire « On fait ce que tu veux ! » Alors, là, je réunis toutes les conditions pour être insatisfait de moi. Ce qui me donnera ensuite l'occasion de faire payer, parfois très cher, mon insatisfaction à l'autre !
Quel que soit notre âge, nous avons à nous positionner, à nous affirmer, bref, à nous définir, à dire clairement où nous en sommes face à tel ou tel problème, situation ou choix à faire. Car si nous ne savons pas nous définir face à nos proches ou dans les relations significatives de notre vie, nous prenons le risque d'être définis par les autres.
On définit un homme à l'aide de ses paroles et de ses actes.
Je tiens cette déplorable habitude de ne jamais laisser passer un mot sans le définir.
Pour vouloir il faut vouloir quelque chose, mais l'idéal parfois est un idéal vague, insaisissable, qu'on ne peut se définir à soi-même.
L'homme en définissant quoi que ce soit procède toujours par la négation. Pour expliquer le bien, il indique le mal et le condamne. Pour faire comprendre la justice, il expose l'injustice et la punit.
La joie de l'homme ne se laisse pas définir, mais le chagrin a bien vite un nom, car il se traduit tout de suite par un mal physique.
L'infini seul est définissable, car il ne change jamais. C'est Dieu ! Mais on ne peut définir le fini. Voyez l'homme, à peine défini, il change de forme et de pensée.
Il est moins difficile d'analyser un parfum que de définir l'amour.
On peut définir le vice : Le sacrifice de l'avenir au présent.
L'esprit, par le secours duquel nous définissons et expliquons toutes choses, ne se peut lui-même ni définir, ni expliquer.
Vouloir définir Dieu, c'est prétendre à le limiter en notre esprit, c'est-à-dire le tuer. Dès que nous essayons de le définir, c'est le néant qui surgit.
L'impossibilité de définir une chose ne signifie pas sa non-existence.
Il faut définir pour débuter si l'on ne veut pas finir par buter.
Je définis le mot civilisation de la sorte : recueil de préceptes sages et de commandements éclairés qui ont pour but de rendre heureuse la vie en société.
Définir une chose c'est substituer la définition à la chose.
Définir la beauté, c'est ne pas la comprendre.
Par un attrait qu'on ne peut définir, la terre natale nous appelle toujours à elle, et ne se laisse jamais oublier.
Définir les femmes en tant que sexe ? Des sphinges sans énigme.
Apprends à te respecter, à dire non et à ne plus te laisser définir par les autres.
Il est difficile de définir l'amour : ce qu'on en peut dire est que, dans l'âme, c'est une passion de régner ; dans les esprits, c'est une sympathie, et dans le corps, ce n'est qu'une envie cachée et délicate de posséder ce que l'on aime après beaucoup de mystères.
L'homme a une soif qu'il éprouve sans la comprendre, un désir qu'il ne sait ni définir ni contenter ; il essaie de tout ; insatisfait, il cherche toujours ; il croit aborder, il échoue. Qu'est-ce, si ce n'est la soif de l'infini ?
À côté du besoin de définir, se trouve le danger de s'embrouiller.
Vouloir définir l'humour, c'est prendre le risque d'en manquer.
Si je devais me définir, je dirais que je suis un hédoniste piégé dans un monde politisé à l'extrême.
Il n'est point d'homme qui puisse se définir au point de n'être pas !
Il y a des émotions qu'on ne peut pas définir.
Définir, c'est limiter.
Dieu, le dépotoir de tous les concepts mal définis.
L'hypocrisie n'est souvent qu'une pudeur qui ne sait même pas se définir.
On a défini l'homme un animal raisonnable. On s'est trompé. II fallait dire : Un animal raisonneur.
Qu'est-ce que définir ? C'est décrire, c'est dessiner avec des mots ce que l'esprit seul aperçoit ; c'est donner des extrémités à ce qui n'en a pas pour l'œil ; c'est peindre ce qu'on ne peut voir ; c'est circonscrire en un espace qui n'a pas de réalité un objet qui n'a pas de corps. Et qu'est-ce que bien définir ? C'est représenter nettement l'idée que tous les esprits se font en eux et malgré eux de l'objet dont on veut parler, quand ils y pensent au hasard.
On peut définir l'homme comme un animal rationnel qui se met toujours en colère lorsqu'il est supposé agir en accord avec les préceptes de la raison.
Une tristesse non définie, c'est souvent de l'amour qui cherche.