L'homme est plaisant avec ses petites divisions du temps, années ou siècles, qu'il prend pour des périodes de l'histoire du monde !
Les plaisants de profession ont presque tous l'esprit faux autant que superficiel.
Il y a un grand malheur attaché au rôle de plaisant, c'est de devenir un homme sans conséquence.
Celui qui se fait le plaisant d'une société a juste ce qu'il faut d'esprit pour être un sot.
Dans la pire adversité, surtout ne jamais perdre le côté plaisant des choses.
Il n'y a rien de plus plaisant que de ne pas se gêner devant les autres mais d'agir ouvertement et sans retenue.
On offense à coup sûr le plaisant quand on ne rit pas de ce qu'il dit.
Les plaisants de profession sont, de tous les êtres, les plus insupportables.
Les plaisants de profession plaisent rarement.
Un homme plaisant est un homme gai, enjoué, qui fait rire.
On ne prend intérêt aux affaires des autres qu'autant qu'elles offrent un côté plaisant ou d'argent.
Il faut éviter le caractère plaisant, c'est toujours un mauvais personnage, et rarement, en faisant rire, se fait-on estimer.
Toute l'ambition des plaisants consiste à mettre les rieurs de leur côté.
S'efforcer d'être plaisant, c'est le vrai moyen de ne pas l'être.
La prudence paraît dans le sérieux, le sérieux est plus estimé que le plaisant.
On hait les mauvais plaisants.
Le métier de plaisant n'est rien moins qu'aisé.
Il y a bien de la différence entre chercher la plaisanterie et être plaisant.