Quand il a payé ses impôts, le paysan est à son aise comme un petit roi.
Laissez la culture au paysan, nul autre que lui ne connaît son champs.
Les pas du paysan font grossir les épis.
Les paysans ne sont pas des oies, quoiqu'ils soient habillés de gris.
L'agriculture est la racine de toutes choses.
Le coq est l'horloge du paysan.
Par son travail fermier qui s'enrichit, au maître porte aussi profit.
Il faut acheter son blé au paysan et son vin au bourgeois.
Quand il tonne au mois de janvier, paysan, étaie ton grenier.
Le paysan n'a de grossier que ses sabots.
Quand il pleut et que le soleil luit, le paysan se réjouit.
Proverbes du paysan sont l'écho de l'expérience.
Agriculteur avare ne fut jamais riche.
Octobre le vaillant, surmène le paysan.
Entre paysans, on ne se refuse pas un chou.
Quand le paysan trop reste au lit, la terre souffre et s'appauvrit.
Le mauvais paysan se reconnaît à l'abandon de son champ.
Que le champ s'épuise plutôt que son paysan.
Si le paysan n'est forcé, il ne remue ni main ni pied.
Un non-paysan ne connaît pas la valeur du mil.
Un paysan tient autant à ses sabots qu'une petite maitresse à ses bijoux.
Sous le chapeau d'un paysan se trouve souvent le conseil d'un prince.
Propre feu et fumée rendent le ménage et le paysan majeurs.
C'est une honte pour le levain déclaré mauvais par le paysan même qui l'a fait.
Rien ne sépare bourgeois et paysan, si ce n'est le mur.
Qui n'est pas noble compte pour paysan.
Au roi la terre, au paysan le bois.
Le paysan tire et Dieu porte les balles.
Le paysan meurt de faim et son maître de gourmandise.
On naît paysan, on ne le devient pas.
Ne sont point paysans tous ceux qui portent l'aiguillade.
Gelée blanche d'avant Noël vaut cent francs au paysan.
Tout paysan debout domine le noble à genoux.
S'il sait peu, le paysan appauvrit et famille et terre.
Les jours pour le paysan se suivent pas à pas, mais ne se ressemblent pas.
Quand même le paysan devient roi, la corbeille ne quitte pas son cou.
Le paysan ne mesure pas au boisseau.
Plutôt riche paysan que pauvre gentilhomme.
Chacune à son rang, dit le paysan qui n'avait qu'une vache dans son étable.
Quand les voleurs sont en désaccord, le paysan rattrape sa vache.
Un paysan à sa charrue vaut mieux qu'un noble dans la rue.
Le paysan, ce qu'il doit faire, il le fera.
Paysan qui dort en août, dort à son coût.
Le paysan toujours reste paysan, et le restera.
Deux fruits sur un fumier, récompensent le fermier.
Dans le besoin, le paysan mange la saucisse sans pain.
Mieux vaut riche paysan que bourgeois sans argent.
Le paysan s'est familiarisé tellement avec un icône qu'il commença à jeter sur lui des copeaux.
Le paysan regrette ce qui a été volé, le voleur regrette ce qui a été laissé.
Goémon pourri et fumier moisi conduisent le paysan à la mendicité.
Bon paysan, souviens-toi de cela : Jamais vieux chien vainement ne jappa.
Quand le vent d'autan règne l'hiver, le paysan est riche et fier.
Meunier et boulanger ne volent pas, le paysan le leur apporte.
Ce que le paysan ne connaît pas, il ne le bouffe pas.
Un vieux loup n'a pas peur des cris des paysans.
Paysan, garde-toi des noix quand elles vont de trois en trois.
Mars pluvieux, paysan heureux.