Si les moutons n'ont pas été admirés, c'est que les bœufs n'ont pas été vus.
Quatre-vingt-dix-neuf moutons et un Champenois font cent bêtes.
Les affaires des cabris ne sont pas les affaires des moutons.
Aucun mouton n'est né avec sa laine.
Le miel, les moutons et la poterie, n'en font commerce que les fous.
Si la France était un mouton, la Provence en serait le rognon.
Au mouton, la sonnette ; à la petite brebis, la clochette.
Sept bergers sont la perte d'un troupeau de moutons.
La vache laisse le gazon qu'a foulé le pied du mouton.
Le mouton tond, mais la chèvre détruit.
Laissez entrer le loup dans la bergerie, il égorgera tous les moutons.
À la suite du loup ne marche point l'agneau.
Un mouton bêle, toute la bergerie a soif.
Tout ce qui est au bercail est du bélier.
II n'est pas toujours saison de tondre brebis et mouton.
On laverait le mouton noir jusqu'à le faire mourir.
À l'Ascension, blanche nappe et gras mouton.
Le mouton boiteux est en arrière, mais quand le troupeau se retourne, il se trouve en avant.
Le mouton est mouton (doux), mais s'il se fâche, il devient furieux.
Quoique le mouton ait bon goût, il sera difficilement agréable à la bouche de tous.
Mouton, à qui appartiens-tu ? — À celui sur la porte duquel je bêle.
Si tu ne veux pas être mouton, fais-toi lion.
Chacun revient à ses moutons.
On ne cherche pas cinq pieds à un mouton où il n'y en a que quatre.
Chair de mouton, manger de glouton.
Tout berger doit protéger ses moutons du chacal.
Les uns tondent des moutons, les autres des porcs.
Mieux vaut gigot prochain que gras mouton lointain.
Mouton d'un bon berger ne meurt jamais.
Le loup trouve toujours des raisons pour égorger les moutons.
Sur toute chair le mouton est le plus cher.
Un mouton galeux empeste un troupeau.
Mieux vaut perdre la laine que le mouton.
Moutons délicats ne seront jamais gras.
Berger qui vante le loup n'aime pas les moutons.
Le mouton a des pieds d'or ; partout où il les pose, le sol se trouve changé en or.