Méfiez-vous toujours d'un homme qui n'a rien à faire.
Méfiez-vous de l'homme qui ne parle, comme du chien qui n'aboie pas.
Méfie-toi par-dessus tout d'un mauvais œil.
Méfie-toi d'une chose comme de la marée qui porte au vent.
Accepte un maître, révère un sultan, mais méfie-toi du percepteur.
Ne trompe pas ton ami, mais méfie-toi de lui.
Méfie-toi de l'homme plus que de toi-même.
Méfiez-vous des douces paroles et des promesses séduisantes, derrière un homme bien souvent se cache le diable.
Méfiez-vous des paroles douces et flatteuses que vous prodiguent de faux amis.
Il faut se méfier du devant d'une femme, du derrière d'une mule, et d'un curé de tous côtés.
D'une mule qui fait hi, d'une femme qui parle latin, méfie-toi.
Il faut se méfier de trois choses en ce monde : des services d'un homme négligent, des conseils d'un envieux, et de l'attachement d'une femme.
Méfiez-vous de ceux qui vantent leur probité.
Si la femme est mauvaise, méfie-toi d'elle ; si elle est bonne, ne lui confie rien.
Méfie-toi de l'eau qui dort.
Méfiez-vous d'un homme qui n'a rien à faire.
Passe sur la rivière qui fait du bruit ; méfie-toi de celle qui est silencieuse.
Plus le péril est caché, et plus il faut s'en méfier : le chien veille plus la nuit que le jour.
Cause du tort à un homme, et ne te tracasse pas ; cause du tort à ta femme, mais méfie-toi.
On doit se méfier de l'arrière d'un cheval, et de l'avant d'un taureau.
Méfie-toi davantage de la branche sur laquelle tu te tiens, sois prudent.
Méfie-toi de celui que tu méprises.
II faut se méfier du devant d'un bœuf, du derrière d'un cheval et d'un aveugle de tous les côtés.
Le sage, tout en s'abandonnant à la fortune, se méfie continuellement d'elle : il ne sait si le jour qui luit se prolongera pour lui jusqu'au soir ; mais dans sa résignation, il prend les événements comme ils se présentent, et les choses pour ce qu'elles valent.
Méfie-toi de l'homme flatteur et maniéré : rarement la vertu se montre sous des dehors séduisants.
Méfie-toi toujours de l'homme qui déchire la réputation d'autrui.
Méfie-toi des visites fréquentes et importunes.
Il faut se méfier de trois choses en ce monde : des services d'un homme négligent, des conseils d'un envieux et de l'attachement d'une femme.
Méfie-toi des gens trop officieux, car la plupart des hommes se proposent pour mille affaires auxquelles ils n'entendent rien.
Femme, méfie-toi des plaisirs, ils ne durent qu'un moment : le soleil décline sitôt qu'il a quitté le signe de la Vierge.
Plus ton ennemi sera souple et rampant, plus il faut te méfier de lui.
Méfiez-vous de la froide douceur, c'est l'onde unie qui recèle un abîme.
Il ne faut pas tant se méfier des autres que se défier de soi-même.
Plus un ennemi paraît flatteur et complaisant, et plus on doit se méfier de lui.
Plus la malice des ennemis est cachée, plus on doit s'en méfier.
Les plus tendres amants se méfient l'un de l'autre.
Qui veut n'avoir rien à craindre doit se méfier de tout.
Méfie-toi toujours de ceux que tu connais peu.
Pour celui qui se méfie de tout, il n'arrive rien qui soit à craindre.
Le voleur ne vole pas toujours, mais il faut toujours se méfier de lui.
Qui a été mordu par un serpent se méfie d'une chenille.
De tout homme inconnu le sage se méfie.
Qui une fois a offensé un Corse doit s'en méfier toute sa vie.
Qui a été mordu par un serpent se méfie des cordes.
Méfie-toi de la rivière qui est trop calme.
Méfiez-vous de la porte qui a plusieurs clés.