Les proverbes marcher.

L'homme qui marche autour d'un brasier de charbons a ses vêtements noircis et gâtés par la fumée, et celui qui s'approche d'un parfumeur contracte une portion de l'odeur agréable qu'il exhale.

Il faut bien marcher comme le ménétrier vous conduit.

Si tu es un pont, tout le monde te marchera dessus.

Il ne faut pas marcher plus vite que la mesure du tambour.

Qui marche dans la bonne voie se rend Dieu propice.

Une brebis suit l'autre ; ainsi une fille marche sur les traces de sa mère.

Vendez jusqu'aux poutres de votre maison pour vous acheter des chaussures plutôt que de marcher pieds nus.

Rien ne marche d'un pas plus assuré que la sottise.

L'orgueil marche devant l'écrasement.

Fixant la lune en marchant, vous tombez dans le ruisseau.

Celui qui va tout droit vaut mieux que celui qui marche en zigzag.

Quiconque marche dans le chemin droit honore l'Éternel.

Quand on boit plus qu'on ne doit, au retour on ne marche pas droit.

Ne marchez pas trop vite, car une marche trop rapide est nuisible à la vue.

L'homme rusé marche dans ses bottes mais laisse les empreintes des pieds nus.

Quand quelque chose marche, tout marche, quand quelque chose échoue, tout échoue.

Il faut apprendre à ramper avant de pouvoir marcher.

Il n'est si petit ver qui ne se recoquille si l'on marche dessus.

Deux renards boiteux viennent à bout d'un renard qui marche droit.

L'homme qui marche droit trouve toujours son chemin large.

À la suite du loup ne marche point l'agneau.

Les pieds qui sont accoutumés à marcher ne se peuvent tenir en repos.

Le temps marche et n'est pas comme un cheval attaché à la crèche.

Celui qui marche dans les ténèbres, heurte son pied.

Le conseil doit marcher avant l'action.

Marche droit sur la ligne du bien, un travers de doigt à peine te sépare du mal.

Le mensonge ne marche que sur une jambe, la vérité sur deux.

Quand il faut marcher, il aime à s'asseoir, et quand il faut s'asseoir, il aime à marcher.

Le marcheur se moquait de celui qui était à cheval.

L'enfant qui sait marcher est un dieu pour l'enfant dans son berceau.

Marche au milieu de la foule, et jamais en tête ni à la queue : tu y serais trop remarqué.

Il est inné chez l'homme lâche de piétiner ce qui est par terre.

La vie de l'homme est un sentier qui mène à la mort : plus l'on marche, plus on s'approche du but.

Mange selon la hauteur de ton sac à provisions, marche selon la largueur de ton pas.

Au pays des boiteux, chacun pense qu'il marche droit.

Le premier pas hasardé mène bien loin.

À chaque pas selon la jambe.

Qui est en faute marche sur la braise.

On marche mieux quand on va moins vite.

Qui marche devant force l'autre à le suivre.

Un enfant rampe jusqu'à ce qu'il soit capable de marcher.

On marche tant sur le ver de terre qu'à la fin il veut se défendre.

Qui compte sur les souliers d'un mort court le risque de marcher longtemps nu-pieds.

Plutôt que s'asseoir, marcher ; plutôt que mourir, durer.

Qui a l'habitude de marcher, se fatigue s'il s'assoit.

Marche du pied droit à tes affaires, et du pied gauche à tes plaisirs.

Les enfants petits marchent sur la robe de leur mère, grands ils marchent sur son cœur.

Marche droit, la vie est un isthme.

L'homme sage voit clair ; l'homme fou marche dans les ténèbres.

Marcher doucement et voir de loin, sont œuvre d'un homme fin.

Qui marche devant engage les autres à le suivre.

Le cul-de-jatte qui ne peut marcher lui-même ne laisse aucun montrer le chemin à un autre.

Qui ne peut marcher, qu'il coure.

Marche rapide, prompte fatigue.

La jambe gauche marche toujours à gauche.

Pour pouvoir marcher, il faut se tenir debout.

On ne marche pas deux fois sur les testicules d'un aveugle.