Qui dort ne prend pas de poisson.
L'avare, comme le chien de cuisine, tourne la broche pour autrui.
Celui qui chie dans le jardin, chie dans la marmite.
Bon feu et cave pleine font que le cuisinier avance.
Disputes de cuisiniers engraissent les choux.
Si la cuisine est grasse, la succession sera maigre.
Un amphitryon accompli est aussi rare qu'un bon rôtisseur.
Celui qui avant d'être moine a été cuisinier sait ce qui se passe à la cuisine.
A trop de cuisiniers, le repas est gâté.
Mauvais chien ne veut compagnon en cuisine.
Celui qui n'a qu'un œuf pour son dîner ne saurait choisir un trop bon cuisinier.
On devient cuisinier, mais on naît rôtisseur.
À chaque cuisinière sa sauce.
Chasseur de chardonneret et pêcheur à la ligne n'eurent jamais bonne cuisine.
L'amitié se réchauffe au feu de la cuisine.
Où n'est point de fumée, il n'est point de cuisine.
Les petites cuisines font les grandes maisons.
Tant que dans le ménage la marmite bout, l'amour vit de bout en bout.
Qui compte sur la cuisine d'autrui déjeune mal et soupe encore pis.
Petite cuisine agrandit la maison ; grande cuisine de maison ruine.
Cuisine mangée, amis dispersés.
On prend les oiseaux par le bec, et les hommes par la cuisine.
La pauvreté s'approche à la sourdine de délicate et trop grasse cuisine.
Une bonne cuisinière nourrit la noce avec une oie.
Le cuisinier friand lèche le bon morceau.
L'homme pauvre fait sa cuisine avec de l'eau.
Qui du vieux ne fait compte fait la cuisine sans honte.
À bonne cuisine, on y revient.
À grasse cuisine, pauvreté lui est voisine.
Quand on est pauvre, on fait la cuisine avec de l'eau.
Quand les cuisiniers se battent, le rôti brûle.
La meilleure médecine, est le pot de la cuisine.
Le cuisinier doit avoir la langue de son maître.
L'oie se promène si souvent dans la cuisine qu'elle finit par rester à la broche.
Qui n'est pas leste à table est au travail détestable.
Cuisine raffinée mène à la pharmacie.
Ce que le paysan ne connaît pas, il ne le bouffe pas.
Qui porte un coutelas à la ceinture n'est pas pour cela cuisinier.
Beaucoup de cuisiniers gâtent la bouillie.
Un œuf se contente de peu : un grain de sel, un peu de feu.
Vieille géline engraisse la cuisine.
Grande cuisine, pauvreté voisine.
Pot au feu doit être tenu sur chaque état et revenu.
Si la cuisine n'est pas un art dans les campagnes, la pharmacie aussi n'y est pas une science.
Quand il y a plusieurs cuisiniers la soupe est trop salée.
Cuisinier, pêcheur et chasseur, trois gourmands de peu de valeur.
Quand les cuisiniers se battent tout refroidit ou se brûle.
La cuisine du voisin sent toujours meilleur.
Quand les cuisiniers sont nombreux, trop salés sont les choux.
Un chien habitué à être dans la cuisine s'embarrasse peu de la chasse.
Si le cuisinier se met en colère, les choux sont trop gras.
La salade doit être bien salée, peu de vinaigre, mais bien huilée.
Mieux vaut bon estomac qu'habile cuisinier.
Grasse cuisine, maigre testament.
La cuisine familiale est la meilleure.