Les 98 pensées et citations sur femme. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur femme :
Toute femme trouve un homme faible et un peu bête chaque fois qu'il fait pour une autre femme ce qu'elle ne trouve que juste et raisonnable que l'on fasse pour elle.
Une femme peut ignorer ce qu'elle a de mal ; elle sait toujours ce qu'elle a de bien.
La femme opine du cœur ; celle qui vous désapprouve ne vous aime pas.
Une femme n'a pas besoin d'avoir de l'esprit pour deviner quand elle n'est plus aimée.
Une femme qui commence à lutter est bien près de succomber.
Une femme ne devrait jamais donner son âge de façon trop exacte. Cela fait mesquin.
Toute femme est une rebelle, généralement en révolte contre elle-même.
Les hommes connaissent la vie trop tôt, les femmes trop tard. C'est là leur différence. Une femme pauvre et légère est une femme de mauvaise vie, une femme riche et légère est une femme en vogue.
La femme supporte d'être vexée, mais malheur à l'homme qui l'ennuie ! Il en est de même d'une nation vis-à-vis de son gouvernement !
Une femme ne sait pas faire une tragédie, à moins d'en être elle-même l'héroïne et de mourir au cinquième acte.
La mue est la santé des oiseaux. La mue de la femme, c'est le renouvellement de la toilette. Que de maladies de femme guérissables avec une décoction de robe de soie ou la friction d'un châle brodé !
Quand avec un rien on n'est plus tout pour une femme, on ne lui est plus rien du tout.
Une femme sans vertu, belle, est un jour sans soleil ; laide, une nuit sans étoiles.
Le plus grand désir de la femme, c'est d'être désirée.
J'aime la femme, non parce qu'elle est belle ou riche, mais parce qu'elle est meilleure, plus juste et plus malheureuse que l'homme. Je n'ai jamais de ma vie adressé un compliment à une jeune fille riche, de peur d'être soupçonné d'aimer sa fortune. La beauté sans esprit m'a toujours paru une tyrannie, faite pour subjuguer les imbéciles.
Il n'est rien de plus beau qu'une harmonieuse poitrine de femme ; c'est la seule chose que j'aime dans les musées, les seins de marbre des déesses, mais encore je leur reprocherais volontiers d'être en marbre !
Ceux qui prêchent l'émancipation de la femme dans le mariage sont les apôtres inconscients du célibat.
La femme est, en général, le plus précieux des sous-ordres et le plus dangereux des chefs.
La vertu des femmes est comme la science des médecins ; tout le monde en médit, et chacun, au besoin, compte sur elle.
La femme est le sujet sur lequel les raisonneurs déraisonnent le plus.
Par son charme et par ses faiblesses, la femme n'est autre chose que l'homme qui a grandi sans cesser d'être enfant.
Tu as fait de moi une femme ; je n'étais, avant de te connaître, qu'une petite fille.
La femme est la reine de la création ; les étoiles se joignent en couronne sur sa tête.
La femme vaut l'homme, elle ne vaut pas plus, mais la femme ne vaut pas moins.
Rien ne fait plus souffrir qu'une femme dédaigneuse.
Une femme peut être surprise d'avoir pris de l'amour, mais elle ne l'est jamais d'en avoir donné.
La femme sans douceur est une prairie sans verdure, un vallon sans arbustes, une forêt sans ombrage, un parterre sans fleurs, un oiseau sans plumage, un ciel sans lumière ; enfin c'est un monstre qui donne un démenti à la nature, et à qui il ne reste plus de son sexe que le nom.
Une femme, même irréprochable, est une énigme, mais si elle est cousue de mystères entrelacés à son existence, c'est trop.
La femme qui s'ennuie est une femme naturelle, c'est-à-dire n'ayant pas les secours de la lampe à bronzer, du fond de teint, des faux cils, des bijoux-couture, des perruques de chez Carita. Elle montre sa vraie peau, qui est blanchâtre, son véritable embonpoint, non corrigé par Gayelord Hauser, son nez camard ou en pied de marmite, non remodelé par le chirurgien ; elle a des mèches grises, et même, comble de détresse, des poils aux jambes, car elle ne va pas se faire épiler chez Elisabeth Arden. Si elle n'est point vertueuse, la voilà grosse ou déshonorée.
Si Dieu permet ce que la femme veut, c'est qu'elle ne veut que ce qui est bien.
Il y a des femmes qui sont des fleurs sans parfum, et d'autres des parfums sans fleur.
La femme qui se fait un mérite de sa beauté annonce elle-même qu'elle n'en a pas de plus grand.
La femme a été mise au monde pour s'arranger de tout et pour tout arranger.
J'aime qu'une femme soit « trop » : qu'elle ressente trop, lise trop, soit trop sûre d'elle-même, rie ou pleure trop, qu'elle aime trop poésie (les pires) et la douceur, qu'elle aime trop la musique, qu'elle danse trop, soit trop rebelle, trop généreuse, trop lucide, trop ardente, trop libre... trop vraie.
Il y a des créatures qui, renfermées dans un corset, dans des souliers, dans des gants, ont la forme d'une femme ; comme l'eau a la forme de la carafe qui la contient. Mais ôtez le corset, les souliers et les gants, il en adviendra comme de l'eau si vous cassez la carafe.
Sa beauté particulière est pour chaque femme un sonnet qu'elle retouche tous les jours : elle ajoute, elle efface, puis elle le lit le soir devant les hommes et les autres femmes, qui sont des juges également prévenus en sens opposé. Le prix est payé en amour et en haine.
La femme qui a beaucoup de besoins et des habitudes ou des désirs de luxe ne peut plus choisir son mari entre les plus spirituels, les plus braves, les plus amoureux, les plus nobles, les plus honnêtes : il faut qu'elle le cherche entre les plus riches.
Ah ! qu'il se passe de choses dans la tête d'une femme qui souffre ! Si facile, si débonnaire que puisse être une âme de femme, de quelque douceur qu'elle soit pétrie, il lui faut sa revanche, et quand elle l'a prise, il lui semble que tout vient de rentrer dans l'ordre.
Une femme qui ne se contredit jamais n'est pas une femme.
Ceux qui ont dans l'esprit une femme comme il y en a peu sont préservés de femmes comme il y en a beaucoup.