Au premier obstacle sérieux, qui nous oblige à aller au fond de l'âme et de l'être, nous nous apercevons que l'union parfaite et totale entre les hommes est impossible.
Une union intime s'accommode mieux de toute l'ouverture du cœur que d'un excès de prudence.
De la manière de vivre entre le mari et la femme dépend le bonheur de leur vie. Quelle plus douce félicité que celle de deux époux dont l'union serait tous les jours cimentée de plus en plus par une estime mutuelle, un amour égal, une fidélité inviolable, un accord et une harmonie parfaite ! Deux époux qui vivraient ainsi seraient sans doute parfaitement heureux, si pourtant on peut l'être dans cet état. La diversité des humeurs, des caractères, des sentiments, sera toujours un obstacle à ce parfait bonheur qu'on s'y propose, et qu'on y trouve si rarement : ce qui a fait dire à quelqu'un qu'il pouvait y avoir de bons mariages, mais qu'il n'y en avait pas de délicieux.
Quelque heureuse que soit une union, il n'est pas possible qu'il ne s'élève de temps à autre quelques petits nuages ; on ne peut sur tous les points être toujours du même avis.
Le mariage est l'union de deux imperfections qui s'entraident sur le chemin de la vie.
Un des plus grands biens de cette vie, mais qui est très rare, c'est l'ordre dans une maison. Qu'il est beau de voir des personnes mariées qui vivent dans une parfaite union, et des enfants qu'une bonne éducation a préparés à servir de modèles à de nouvelles générations !
Ceux qui obligent le plus ne sont pas ceux qui se font le plus aimer : il faut savoir ménager la délicatesse de celui que nous voulons obliger, et alors nous serons sûrs de nous faire aimer ; quand en ouvrant notre main nous aurons le soin d'ouvrir notre cœur, celui des autres s'ouvrira à son tour en notre faveur. L'union qui se forme entre deux cœurs unis par la reconnaissance et la bienfaisance est durable, et ne convient qu'à des âmes également sensibles : il faut si peu pour se faire aimer ! quelques bienfaits peuvent nous valoir une infinité de plaisirs.
L'union augmente les forces des plus petites choses, la désunion ruine insensiblement les plus grandes.
L'union soutient les familles, et fait la puissance des Etats.
L'union des âmes sans l'union des vies est une prévarication.
Il y a un plaisir plus touchant que la liaison des sens : c'est l'union des cœurs.
Le bonheur est dans l'union des volontés ; à défaut de cela, dans le dévouement, pourvu que ce dévouement soit honoré, respecté, et accueilli.
L'union est le remède de tous les maux chez les mortels.
Prêcher l'union quand on s'égorge, c'est crier dans le désert.
Le meilleur garant d'une heureuse union, c'est le lien d'un amour mutuel.
L'amitié est l'union de deux âmes pour le bien.
Le cœur des femmes veut l'union absolue et unique, l'amour sans partage.
L'absence fortifie les unions qui ont un véritable sens, elle réussit ce tri difficile et elle révèle les vrais époux comme les vrais purs et les vrais forts.
Le mariage est l'union librement consentie de l'homme et de la femme, et sa fin est la naissance d'une famille ainsi que le bonheur commun des conjoints.
Par l'union et par le conseil, on vient à bout de tout.
Il y a du bonheur à être près de son ami, la présence cimente l'union.
Le célibataire préfère son état misérable à la platitude des unions quotidiennes.
Le principal lien de toutes les sociétés et de tous les corps, c'est l'union.
L'union fait la force.
Dans l'union s'affirme la force d'hommes même très médiocres.
Le cœur ne veut qu'une chose, l'échange, la fusion, l'union des vies et des sentiments.
L'amour tient tout entier dans la préface de l'amour, d'autant qu'une bonne union bénéficiera en retour à la famille et assurera la sécurité de la maisonnée.
Que tous vos jours soient longs et heureux, si longs et si heureux que vos yeux puissent voir vos enfants et les enfants de vos enfants. Et quand votre dernier jour sera venu, puissiez-vous, et c'est tout ce que je demande au ciel pour votre couple, n'avoir jamais à vous repentir de cette union qui fait aujourd'hui l'objet de tous vos vœux.
L'union des plus faibles les rend plus forts?