Les 58 pensées et citations sur liaison. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur liaison :
L'absence de paroles, qui n'empêche pas deux âmes de se comprendre, ajoute au charme de cette liaison naissante.
Esclave de sa liberté, on redoute les entraînements des liaisons sérieuses.
Les frères et sœurs passent toute leur jeunesse dans une alternative de petites querelles et de courtes amitiés. C'est déjà l'image de toutes les autres liaisons qui vont suivre, où l'on se prend et l'on se quitte, par des goûts et des antipathies d'un moment.
Les plaisirs forment des liaisons, l'ambition produit des intrigues, les goûts ou l'intérêt arrangent des sociétés. La vertu seule assortit et resserre les nœuds de l'amitié.
Un mariage d'amour n'est qu'une liaison officielle ayant sur les liaisons clandestines l'inconvénient d'être plus difficile à rompre.
Ne donnez pas le nom d'aimer à des liaisons passagères qui ne sont qu'une distraction prise en commun.
Les bonnes liaisons entre les personnes se font sans condition.
En s'entretenant des liaisons amoureuses, les hommes, même les mieux élevés, tiennent souvent des propos cyniques. Si les femmes entre elles parlent du même sujet, elles se servent d'expressions décentes, et souvent d'une chasteté qui ne s'accorde point avec de pareilles manières.
Dans une liaison quand l'un des deux amants est quitté par l'autre, il arrive parfois qu'il regrette moins d'être abandonné que d'avoir été devancé dans l'abandon.
La conversation, sur les premiers temps de leur liaison, est un souvenir qui est toujours pour deux amants un des plus doux sujets d'entretien. Les premiers pas que l'on fait dans le labyrinthe de l'amour sont si délicieux, les premières perspectives, si ravissantes, qu'on se les rappelle avec enchantement ; on se dispute l'un à l'autre l'avantage d'avoir aimé plus vite, avec plus de désintéressement, et, dans ce débat, chacun aime mieux la défaite que la victoire.
Liaisons : Également dangereuses dans la vie et dans la conversation.
Il vaut mieux rompre une liaison qui n'offre plus que des chagrins, et qui nous empoisonne la vie.
La plupart des liaisons amoureuses, si profondément serrées qu'elles soient, finissent toujours par se dénouer dans les larmes et l'amertume.
Dans les liaisons, qui sont les plus quittés : Les hommes ? Les femmes ? À en juger par ce que j'ai pu voir, entendre, apprendre : Les femmes.
Une femme nous connaît après vingt-quatre heures de liaison intime, et nous quelquefois nous ne connaissons pas notre maîtresse après vingt-quatre mois passés avec elle. Est-ce parce que nous sommes le sexe fort que nous avons si peu d'intelligence sur ce chapitre ? On me répondra que nous ne pouvons pas avoir tous les avantages !
Là où le cœur n'est pour rien, les liaisons amoureuses sont bien monotones.
Une liaison scellée par la mort est une noce qui nous donne une compagne pour la nuit.
Le meilleur souvenir que garde une femme d'une liaison c'est l'infidélité qu'elle lui a faite.
Une liaison vaut mieux que bien des ménages.
Le plaisir, qui est l'unique mobile de la réunion des deux sexes, ne suffit pas pour former une liaison.
La constance conduit au mariage ou à la chaîne. Rien dans la vie ne me semble plus attristant et plus pénible que ces liaisons de longue durée.
Il y a des liaisons réglées comme des actes notariés, où tout est prévu, les jours, les heures, les accidents et jusqu'à la rupture dont on devine l'échéance. On prend un amour comme une loge à l'Opéra !
Quand une femme, attachée par ce lien juridique qu'est le mariage, mais qui n'aime pas son mari, qui ne peut l'aimer, dont le cœur est libre, rencontre un homme qui lui plaît, et se donne à lui, quand un homme sans liaison prend une femme ainsi, je dis qu'ils s'engagent l'un vis-à-vis de l'autre, de par ce mutuel et libre consentement, bien plus que par le « oui » murmuré devant l'écharpe du maire. Je dis que, s'ils sont tous deux gens d'honneur, leur union doit être plus intime, plus forte, plus saine que si tous les sacrements l'avaient consacrée.
Les longues et fortes liaisons naissent d'une grande et profonde affection, faite de tendresse, de reconnaissance et des mille attaches menues.
Deux mains qui se rencontrent, presque involontairement, se serrent, c'est déjà le commencement d'une liaison.
La plupart des liaisons mondaines, même très courtes, ne valent pas le mal qu'elles nous donnent ni tous les ennuis qui peuvent en résulter.
L'amour conjugal s'entretient comme toutes les liaisons, par les soins et les prévenances ; il s'éteint dans la langueur, et périt par les apparences mêmes de l'indifférence.
Dans les liaisons de cœur, comme dans les saisons, les premiers froids sont les plus sensibles.
Dans les liaisons de cœur il y a presque toujours une dupe, mais le bonheur est de son côté.
Il n'y a que la conformité des sentiments qui puisse rendre les liaisons durables. C'est la sympathie qui rapproche les cœurs, et qui serre les liens de l'amour ou de l'amitié.