Pour Dieu et le Pays, avec fougue on prend le glaive.
Un glaive retient l'autre dans le fourreau.
Pour Dieu et la patrie, on prend le glaive avec ardeur.
Les armes d'un poltron n'ont ni tranchant ni pointe.
Ce ne sont pas les belles armes mais les grands cœurs qui gagnent les batailles.
Le canon est la dernière raison des rois.
Parole d'amour désarme toujours.
J'ai patienté, mais le sabre est arrivé jusqu'à l'os.
Il ne faut pas mettre des armes entre les mains d'un furieux.
Il a deux sciences qui mènent à la gloire : La science des armes et celle des livres ; la première est ridicule dans la vieillesse, la seconde est toujours respectable.
Le fusil de maître Javai, toujours chargé ne part jamais.
Là où le maître de la maison avait suspendu ses armes, un simple berger suspend maintenant sa corbeille.
C'est une assez bonne raison de prendre les armes pour se défendre.
Lorsqu'on refuse de l'argent au soldat, il refuse de mettre l'épée à la main.
Les lois sont muettes au milieu des armes.
Ce n'est pas toujours la plume, mais souvent les armes qui rédigent la loi.
La plaisanterie est une arme à deux pointes et deux tranchants.
Dans la bataille, la meilleure arme est celle que l'on a à sa disposition.
On ne laissait pas l'hôte entrer dans la maison, et il accrochait déjà ses armes au porte-manteau.
Contre les Français, les fourches même sont des armes.
Garde-toi de donner des armes aux transfuges de l'amitié.
La meilleure arme est celle qui est la plus proche de la main.
Ecarte-toi des grandes rivières, des hommes en place, et des animaux armés de griffes ou de cornes.
Les bonnes armes sont la moitié de la bataille.
C'est loin du canon qu'on trouve les vieux soldats.
Partout les gens d'armes chassent la peste et la laissent.
L'arme de la calomnie porte bien loin dans l'ombre.
Une bonne langue est une bonne arme.
Le meilleur moyen de faire la paix, c'est d'avoir l'épée tirée.
La raison est une arme plus pénétrante que le fer.
Tout Berbère avec son fusil est roi.
Quand tu veux désarmer ton ennemi, achète-le.
C'est périr deux fois que de périr par ses propres armes.
On ne tue pas celui qui a déposé les armes.
L'homme en armes est le seul qui soit vraiment homme.
Deux hommes unis sont une armée contre un.
Le poignard est un frère, le fusil un cousin.
C'est un autre homme que le Malgache qui possède un fusil.