D'un marchand et d'un porc, on ne sait rien qu'il ne soit mort.
Le lion et le cochon, de chacun le père est connu.
Les gourmands sont des pourceaux à l'auge.
Grands crins et peu de laine, dit le diable, en tondant ses cochons.
Un homme ivre est ou agneau, ou cochon, ou singe, ou lion.
Qui se mélange avec des cochons mange du son.
Où sont les cochons, sont les grognons.
Si tu admets ton cochon à table, il te mettra ses pieds sur la tête.
Le pauvre a mangé les petits cochons avant leur naissance.
Cochon rassasié de glands, commença à déraciner le chêne avec son groin.
Le cochon est devenu gras et eut envie de lutter avec le loup.
On a mis la tête du porc sur un tapis, elle roula, roula et se jeta dans la boue.
Qui se mélange à la paille, les cochons le mangeront.
C'est le cochon du prêtre qui a le plus de bouillie.
Quand on laisse la grille ouverte, les cochons piétinent le blé.
Les auges vides font grogner les porcs.
Lorsque le cochon rêve, c'est d'eau de vaisselle.
Ne tue pas plus de cochon que tu ne peux en mettre en salaison.
Qui se jette dans le son sera mangé par le cochon.
Que se mêle au son sera mangé par les cochons.
Qui se met dans l'auge des cochons, les cochons le mangent.
Plus les chiens et les cochons sont gras, plus leur mort est prochaine.
Le cochon qui a deux maîtres meurt de faim.
Un pourceau ne s'engraisse pas d'eau claire.