La faim rend tendres les haricots non cuits.
Ce qui cuit tarde.
Pain cuit est liberté.
Que celui qui est pressé d'avoir du pain le mange non cuit.
Que chacun apporte des braises pour faire cuire son pain.
Qui a mendié son riz n’a pas de quoi le faire cuire.
Dans le pot où tu as fait cuire pour les autres, on fera aussi cuire pour toi.
Veau mal cuit et poulets crus font les cimetières bossus.
En ce bas monde rien ne vaut liberté et pain cuit.
Tel se met en peine de farine que son pain est cuit.
Pendant que le feu brûle, coupe ta citrouille pour la faire cuire.
Bœuf saignant, mouton bêlant, porc pourri, tout n'en vaut rien s'il n'est bien cuit.
Nul ne sait ce qui cuit dans mon pot-au-feu.
Si la mer bouillait trois heures, il y aurait bien des poissons cuits.
On ne peut pas faire cuire le pain dans un four refroidi.
Le haricot du pays ne se cuit qu'avec de l'eau du même pays.
On ne cuit pas deux fois un pot de bois.
Le pot cuit mieux sur son propre poêle.
Ce qui se cuit à la maison se mange à la maison.
Le millet n'est jamais trop cuit pour l'homme affamé.
Dans un même pot, on ne peut pas cuire deux plats différents.
Ce qui ne cuit pas pour vous, laissez-le brûler.
On ne cuit pas le riz avec des paroles.
Par triple feu viande humaine cuire se doit pour être saine.
Ce qui reste hors du four n'est pas cuit.
Quiconque fait cuire du poison est amené à en goûter.
Ne fais pas cuire dans la marmite de ton voisin.
Le riz est toujours bien cuit pour ceux qui ne mangent chez eux que du mil.
Le millet n'est pas cuit que le rêve s'achève.
Le manger cuit n'a pas de maître.
D'abord, cuire le strudel, ensuite s'asseoir et réfléchir.
Laisse cuire ce que tu n'as pas l'intention de manger.
Jamais l'affamé ne fait trop cuire son pain.