Si tu veux épouser une fille, observe le comportement de sa mère.
Une mère devient un tigre si l'on s'attaque à son fils.
Une mère qui a trop de tendresse pour ses enfants les fait teigneux.
La douleur de la fille se porte sur la hanche de la mère.
Telle est la conduite de la mère, telle sera celle de la fille.
Une brebis suit l'autre ; ainsi une fille marche sur les traces de sa mère.
Si l'enfant ne pleure pas, la mère ne le comprend pas.
Un fils qui fait verser des larmes à sa mère peut seul les essuyer.
Quand l'enfant quitte la maison, il emporte la main de sa mère.
À mère courageuse, enfant courageux.
Un enfant n'oublie jamais l'odeur de sa mère.
Une mère de famille est la providence de ses filles.
L'enfant ne recevra de baisers sur la bouche que de la bouche de sa mère.
Les mères trouvent l'éloge de leurs vertus dans les traits de leurs enfants.
Qui tend la main à un enfant gagne le cœur de la mère.
La brebis suit la brebis.
D'une bonne vigne prenez le plant ; d'une bonne mère, prenez la fille.
Tout l'avenir d'un enfant lui vient de sa mère.
Pour une mère, l'enfant a beau grandir, il s'arrête à la hauteur de son cœur.
Un enfant reste toujours un petit enfant aux yeux de sa mère.
Tout enfant est toujours le plus beau aux yeux de sa mère.
Chaque mère doit nourrir son enfant avant de se nourrir soi-même.
Bonne mère n'épargne nul enfant.
Les enfants petits marchent sur la robe de leur mère, grands ils marchent sur son cœur.
La petite gazelle n'oublie pas les habitudes de sa mère.
Quand tu es enceinte, il faut être sage pour deux.
Le sein maternel est la propriété de l'enfant, comme la terre est celle de l'homme.
L'enfant qui n'est jamais sorti trouve que seule sa mère fait bien la sauce.
Les provisions de route d'un enfant nourrissent la mère.
Pour chaque mère le soleil ne brille que sur son enfant.
L'enfant de ma fille est mon enfant.
Le soleil du printemps sur mon fils et ma bru, le soleil d'automne sur ma fille et mon gendre.
La mère doit nourrir elle-même l'enfant qu'elle met au monde.
Entre la mère et la sage-femme, l'enfant finit par être perdu.
Dans le goûter de l'enfant, on trouve les pensées de la mère.
Que l'enfant ne soit châtié, lavé et nourri, que par sa mère.
À paresseuse mère, fille bonne ménagère.
Qui a enfanté la femme, doit élever l'enfant.
Une mère comprend la langue de son fils muet.
Un fils ne grandit pas aux yeux de sa mère.
Le petit poulet n'instruit pas maman poule.
L'embryon, sa mère voit pour lui.
L'enfant est la prunelle des yeux de sa mère.
Aux yeux de chaque maman scarabée, son petit est une gazelle.
La mère punit et frappe son enfant ; mais, aussitôt après, elle le couvre de baisers.