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Les richesses, je les dédaigne absentes aussi bien que présentes ; ni plus triste de les voir entassées chez d'autres, ni plus fier si elles m'entourent de leur éclat. Que la fortune me vienne ou se retire, je ne m'en apercevrai pas. Je regarderai toutes les terres comme à moi, les miennes comme à tous. Je vivrai en homme qui se sent né pour ses semblables, et je rendrai grâce à la nature d'une si belle mission.
Si les richesses donnent toutes les qualités, on doit rougir de n'être pas le plus avare des hommes.
La richesse est certainement un bonheur, mais ce n'est pas le bonheur ; pourtant c'est surtout la richesse qu'on envie.
Les richesses assemblent beaucoup d'amis, mais celui qui est pauvre est abandonné de son ami.
Ceux qui gouvernent un pays ne doivent point faire leur richesse privée des revenus publics, mais ils doivent faire de la justice et de l'équité leur seule richesse.
Deux sortes de faim ne s'assouvissent jamais, celle des sciences et celle des richesses.
L'abeille puise sa richesse dans le calice de la fleur ; la sagesse est au fond du cœur ; la vie au fond de la sagesse.
Anarchiste : Militant qui détruit toutes les richesses avant de les redistribuer.
Le fruit que nous avons pu atteindre nous semble meilleur que celui qu'on a cueilli pour nous, il en est de même des richesses.
Crésus : Symbole de la richesse. Lucullus fait sa cuisine.
Richesse : Triste état de ceux qui n'ont plus rien à désirer.
La mythologie contemporaine privilégie ceux qui, contre mauvaise fortune, savent faire bon cœur. Plutôt le vœu de pauvreté que l'ambition de richesse.
La richesse promet plus de moyens d'être heureux qu'elle ne donne de bonheurs.
Curieuse méprise dans la répartition des richesses qui donne tout à ceux qui ne font rien et n'ont besoin de rien, et qui refuse presque tout à ceux qui travaillent et sont dénués de tout.
Le malheur veut que le désir des richesses soit l'un des instincts les plus solidement rivés au cœur de l'homme, au point que le désenchantement même n'est jamais détachement. Déçu par l'expérience de l'argent, l'homme n'en reste pas moins fasciné et le convoite toujours. Cette magie s'exerce encore plus sur les pauvres que sur les riches. Le peuple ne conviendra jamais que la richesse n'apporte pas le bonheur. Lorsqu'un riche, désabusé, proclame publiquement son échec, chacun pense : À sa place, j'aurais su être heureux !
L'amour des richesses est la racine de tous les maux.
La richesse d'une vie se mesure à sa capacité à aimer.
Laissons la puissance et les richesses aux autres hommes ; pour nous, faisons que la vertu soit notre partage et l'unique mobile de nos actions.
Tu demandes à Dieu des richesses ; il t'en accorderait, s'il n'avait pitié de ta sottise.
L'orgueil perd plus de gens que les richesses ne font d'heureux.
La richesse rajeunit, et la vieillesse malaisée enlaidit.
La richesse est la mère de la pauvreté ou plutôt elle en est la marâtre.
Confondre la richesse avec le bonheur, c'est prendre le moyen pour le but.
La santé est d'un plus grand prix que les richesses d'un malade ; et il n'y a personne qui ne préfère la santé d'un homme dans la médiocrité aux richesses d'un roi accablé de maladies.
Souffrir, vieillir et mourir, voilà les plus grands maux de la vie : les richesses n'apportent point de remède à tout cela ; mais par elles on tombe plus souvent malade, on vieillit souvent plus tôt, et l'on parvient plus vite à la mort.
Jamais grande abondance ne fut richesse.
Le plus grand fléau est la richesse unie à l'ignorance.
Les richesses possèdent plus les hommes que les hommes ne les possèdent.
Suivant les décrets du destin, les richesses viennent et s'en vont.
Les richesses servent de manteau à plus d'un vice.
Le possesseur de grandes richesses se livre à la joie du plus insolent orgueil : un coup de vent n'en est pas moins le maître de ses trésors.
Les richesses ne sont pour l'homme qu'une gelée blanche,mais la sagesse est une glace solide.
Il y a plus de gens possédés par les richesses qu'il n'y en a qui les possèdent.
La dépense seule fait tout le mérite de la richesse.
Les richesses sont plus propres à amollir qu'à élever le courage, et un homme de cœur, mal partagé des biens de la fortune, est souvent plus redoutable que celui qui se trouve accablé de ses bienfaits.
On peut posséder des richesses sans en jouir, un bon emploi les fait seul valoir.
Seul celui qui peut se passer de la richesse est digne d'en jouir.
Il y a de telles richesses dans le cœur, qu'il peut, sans s'appauvrir, les prêter toutes à l'objet le plus misérable. Comme l'idolâtre, le cœur adore le plus souvent l'œuvre de ses mains.
La richesse individuelle, qui est une ignorance, une erreur ou une folie chez l'avare, devient un crime chez le philosophe et l'homme religieux, s'ils n'en font pas un bon usage. Elle est au moins une faiblesse et une imperfection chez les âmes généreuses, puisqu'elle leur donne le monopole de la bienfaisance. La seule richesse légitimée par la raison, c'est la richesse universelle.
On ne possède de richesse que ce qu'on en peut dépenser.