Je veux devoir tout mon bonheur à la tendresse maternelle,disait Alfred de Musset. Un célèbre poète, écrivain et peintre libanais, Khalil Gibran, a écrit :
Dans la tendresse de l'amitié qu'il y ait le rire et le partage des plaisirs, car dans la rosée de menues choses, le cœur trouve son matin et sa fraîcheur.
Il n'est plus de feu pour me faire croire à la tendresse.
La tendresse des enfants pour leurs parents est la plus naturelle de toutes les vertus, le devoir le plus saint, mais peut-être n'est-ce qu'un devoir, alors que la tendresse des parents pour leurs enfants est quelque chose de plus grand, c'est un sentiment.
Qui refuse sa tendresse n'est pas digne de recevoir la tendresse des autres.
Un effort de tendresse ne rallume pas plus un amour éteint que l'embaumement ne rend la vie à un corps inanimé, mais il sert à en conserver les formes.
Que la générosité et la tendresse tiennent toujours ton cœur ouvert aux misères d'autrui.
Un baiser de tendresse est tout un discours condensé en un seul souffle.
Un baiser est toujours le prix de la tendresse.
La tendresse est le repos de la passion.
La joie n'est que l'épanouissement de l'être. Le soleil des âmes, c'est la tendresse.
La tendresse est l'abat-jour de la passion.
La sensibilité et la tendresse lient, tout ce qui les séparent de l'être aimé leur paraît manque et ennui.
Une fois qu'un coeur s'est accoutumé à la tendresse, il ne peut plus s'en passer.
L'amour est l'exaltation de la vie, et la tendresse le couronnement de l'amour.
La tendresse prend naissance à l'instant où nous sommes rejetés sur le seuil de l'âge adulte et où nous nous rendons compte avec angoisse des avantages de l'enfance que nous ne comprenions pas quand nous étions enfants.
La tendresse n'est pas un sentiment, c'est une qualité de regard, une qualité d'écoute, de contact, de sourire.
La tendresse c'est mon regard émerveillé sur ce que tu me donnes, c'est ton regard ébloui sur ce que je reçois.
Les tendresses d'une femme sont comme ces fruits amers qui tombent quand on ne les récolte pas.
La tendresse a ses jours d'ennuis.
La disparition de la tendresse suit toujours de près celle de l'érotisme.
La tendresse d'une femme aimante communique à l'être aimé un magnétisme secret.
La tendresse, c'est la frayeur que nous inspire l'âge adulte.
Plus on partage la tendresse, plus elle grandit.
La tendresse est respect et émerveillement de libre connaissance à travers la fibre de la fidélité.
La tendresse, c'est le désir qui dort, mais d'un œil.
Attachez-vous à développer de bonne heure, à diriger vers l'amour des autres hommes, ce caractère de tendresse et de sentiment que nous avons reçu de la nature, et à le perfectionner dans votre élève par des leçons proportionnées à son âge, et par un exercice fréquent qui lui en fasse contracter une heureuse habitude. Car tout s'acquiert par l'exercice, et il ne faut pas même en excepter la vertu.
Les femmes aiment la force sans l'imiter ; les hommes aiment la tendresse sans la payer de retour.
Une maman ne vit que par la tendresse.
On peut détester sans haine, comme on peut aimer sans tendresse.
C'est là un des points importants de la vie du couple : l'instinct de l'homme est de dormir, celui de la femme est d'engourdir doucement la sensualité dans un bercement de tendresse.
La tendresse constitue le trésor des ménages unis.
La tendresse d'un amant n'est jamais une affection bienveillante, mais un appétit grossier qui cherche à se satisfaire.
Si une passion évolue en tendresse, acceptons cette tendresse comme le plus sûr de nos biens.
La tendresse est la sève de la vie, sans tendresse une relation reste en attente d'être fécondée.
La tendresse, c'est mon regard émerveillé sur ce que tu me donnes, c'est ton regard ébloui sur ce que je reçois.
La tendresse est intelligente.
La tendresse du père est presque toujours en conflit avec les intérêts du chef.
Toujours une âme tendre est tant soit peu jalouse.
Pour beaucoup de femmes, le plus court chemin vers la perfection, c'est la tendresse.
Le père a la raison, la mère a la tendresse?