On pleure la mort d'une fille pendant quelques mois ; mais on la pleure tous les jours si elle est mal mariée.
Même si tu es la fille du sultan, tu finiras toujours par te trouver dessous.
Il y a trois choses qu'on peut déclarer infatigables : Un gamin dans la rue, une fille à la danse, et un prêtre à l'autel.
De bon plant plante ta vigne, de bonne mère prends la fille.
Pour la belle-fille, un seul frère ou sœur de son mari vaut mille diables.
Filles trop en rue, tôt perdues.
Fille qui agrée est à moitié mariée.
Avec loque et loquette, on élève fils et fillette.
Noix, filles et châtaignes, les hardes couvrent la malice.
Fille sans crainte ne vaut pas un brin de menthe.
Une fille d'herbe nourrie, certainement ne fait pas longue vie.
De bons plants plante ta vigne, à un galant homme donne ta fille.
Belle fille et méchante robe, trouvent toujours qui les accroche.
Amour de belle-fille et de gendre est comme une lessive sans cendre.
La fille passe avant la mère, mais le fils suit derrière le père.
Mon fils est mon fils jusqu'à ce qu'il ait une épouse, mais ma fille est ma fille pour la vie.
Fille peu répandue est sûre d'être recherchée.
Faute de jeunes filles, on danse avec des filles.
Une fille refuse souvent dans son printemps ce qu'elle ne peut avoir dans son automne.
Les filles et les chevaux ne savent pas où sera leur demeure.
Les jeunes filles et les avoines, où Dieu veut s'en vont semées.
Du vieux renard et jeune drille, garde bien ta poule et ta fille.
Jeunes filles et jeunes prêtres ne savent où ils mangeront leur pain demain.
Le cœur d'une fillette est une forêt obscure.
La cage pour les oiseaux, le térém (Chambre) pour les filles.
La modestie est le plus beau collier d'une fille.
Choisis la vigne de bon plant, et la fille de bon parent.
Fille n'est aimée de personne, qui à toutes gens s'abandonne.
Fille qui offre sans qu'on demande, est perdue si elle n'amende.
Une fille unique va toujours bien parée à l'Église.
Si tu le veux, marie ton fils, et ta fille si tu le peux.
Les filles du diable sont mariées dans tous les Etats.
Une vieille maison et une jeune fille donnent beaucoup d'occupation.
Les cheveux blancs et les lunettes ne plaisent aux jolies fillettes.
Avant qu'arrive la fin du monde, la plus mauvaise terre produira le meilleur blé, la plus mauvaise fille sera la mieux mariée, et les bâtards seront en tête (de la procession), pour faire le tour du cimetière.
La pie pince l'oreille à cette fille. (C'est-à-dire : Elle meurt d'envie de se marier).
Les blonds cheveux et la gentillesse d'une jolie fille ne font bouillir la marmite.
La fille qui est seulement un peu plus intelligente qu'une oie trouvera toujours un mari.
Fleurette tourne parfois, amour de fille tourne toujours.
C'est par-dessus la crinière de la jument que l'on enlève la pouliche. (C'est-à-dire : Il faut savoir plaire à la mère si on veut avoir la fille).
Prends l'étoffe d'après la lisière, et la fille d'après la mère.
Une fille unique, mauvaise fût-elle, vaut cent écus de plus qu'une autre fille.
Jamais fille sage, sage longtemps ne reste en hantant les garçons, ni meilleure ne devient.
Qui trouve un bon gendre gagne un fils, qui en trouve un mauvais perd sa fille.
À quinze ans jeune fille rit ; à vingt, elle choisit un mari ; à vingt-cinq, elle s'accommode ; à trente, elle prend ce qu'elle trouve.
Rarement marie sa fille, qui n'a honneur ni famille.
Il ne faut point faire grenier de filles.
Qui a des filles aura des gendres.
La fille n'est que pour enrichir les maisons étrangères.
Mieux vaut avoir pour femme une courtisane qu'une fille de bonne famille qui se conduit mal.
Une jolie et bonne fille vaut à elle seule plus que sept fils.
Peu de vignes, peu de filles, mais bien tenues.
Fille comme on l'a élevée, étoupe comme on l'a filée.
Marier une fille, c'est comme creuser un puits.
Il n'y a que deux choses qui comptent au monde : un fils et une fille.
Ne regarde pas la fille à l'église, mais à l'étable.
Quand naît une fille, c'est comme si sept voleurs pénétraient dans la maison.
Pour juger d'un éléphant, il faut regarder sa queue ; pour une jeune fille, il faut voir sa mère.
Fille qui chante demande mari.
Prends la fille de ton voisin, de son défaut tu seras plus certain.
Peu de vignes, peu de filles, sans quoi pauvres les familles.
Une jolie fille doit avoir robe de son et robe de velours.
Une fille oisive roule bien des idées dans sa tête.
Plus une fille se plaît à s'orner moins il y a en elle de chasteté.
Toutes les filles qui ont de beaux cheveux ne sont pas pucelles.
Nulle jolie fille sans serviteur, et point de vieillard sans douleur.
Un homme riche n'est jamais trop vieux pour une fille.
Fille fenêtrière et trottière, rarement bonne ménagère.
La vertu est la meilleure dot des filles.
Fille pour son honneur garder, ne doit ni prendre ni donner.
Il faudrait avoir des yeux de lynx pour bien connaître une fille.
Une belle fille, sans biens, a plus d'amants que d'épouseurs.
Fille brunette, fille de nature gaie et nette.
Fille qui rit est à moitié vaincue.
Choisis pour femme une fille de vingt ans, et pour ami un homme de deux fois vingt ans.
En vin saveur, en drap couleur, en fille contenance.
La fille un peu plus intelligente qu'une oie trouvera toujours un homme.
Il y a bien des filles à regret, et qui sont femmes dans le cœur.
Insensée la fille qui apprend à sa mère à enfanter.
On ne se trouve jamais bien d'une chemise trop longue et d'une fille trop libre.
La fille paresseuse est rarement vertueuse.
Filles et verres sont toujours en danger.
Une fille sans mari est une barque à la dérive.
Choisis la fille en fonction de sa mère.
Quand les filles sont mariées, on trouve des marieux.
La jeune fille est une fleur ; la femme est un fruit ; si le fruit se trouve mauvais, quel souvenir restera-t-il de la fleur ?
Fille aimant silence a grand science.
Qui accouche d'une fille la nomme Silence.
La fille est la réputation.
Mieux vaut mourir au pied du lit d'une fille méchante qu'à la tête du lit d'une bonne bru.
On ne peut faire d'une fille deux gendres.
La belle-fille parfaite, c'est celle qui mange sans sel, mais qui dit que c'est salé.
Mieux vaut être dans la cour du fils, que dans les bras de la fille.
Une jolie fille est comme une aiguillée de soie.
Filles et verriers sont toujours en danger.
La maison des filles est toujours vide.
Quand la belle-fille est entrée, la bonne est devenue patronne.