Après trois jours, la pluie, une femme et un hôte sont fort incommodes.
L'hôte est un présent de Dieu.
Ne cherche pas l'ornement de ta demeure dans les tapisseries, mais dans l'hospitalité.
Reçois tes hôtes sans cérémonie, afin que l'exercice de l'hospitalité ne te devienne pas pénible.
Qui ne laisse pas un reste de pain sur sa table pour son hôte ne prospérera pas.
Si tu as donné à manger et à boire à ton hôte, reconduis-le aussi.
Dieu ouvre la porte de la miséricorde au fidèle qui reçoit ses hôtes avec générosité.
Un hôte est un don de la libéralité de Dieu ! Celui qui se cache pour ne pas le recevoir, n'est digne que de mépris.
Quelles vilaines gens que ceux qui refusent l'hospitalité !
Qui n'exerce l'hospitalité qu'avec chagrin déplaît à Dieu et à ses apôtres.
Mieux vaut vider la maison qu'avoir affaire à hôte grognon.
Après avoir régalé tes hôtes, il est aussi convenable que tu les reconduises quand ils te quittent.
Qui dans son foyer n'héberge personne, en voyage sera l'hôte de bien peu de gens.
Hôtes, valets et les poissons, trois jours passés ne semblent bons.
Un hôte respectueux est toujours le bienvenu.
Un hôte qui arrive mal à propos est pire qu'un Tartare.
Qui n'estime le pain et le vin, les devoirs de l'hospitalité, est pire qu'un chien.
L'hôte qui sort de chez vous déçu dans ses espérances vous laisse ses fautes et emporte le mérite de vos bonnes actions.
On reçoit son hôte d'après son costume ; on le reconduit selon son esprit.
Le fourneau est grand, il y a une cuillerée (de ce qu'il contient) pour chacun.
Une maison dont la porte est toujours ouverte est la meilleure des maisons.
Un hôte est un don de la libéralité de Dieu : celui qui se cache pour ne pas le recevoir n'est digne que de mépris.
Tout ce qu'il y a au four, partagez-le sur la table.
Quand l'hôte vient dans la maison, Dieu est à la maison.
Ouvre ta porte aux autres et celle des autres sera ouverte pour toi.
Il faut accorder l'hospitalité même à un ennemi, et le recevoir d'une manière convenable, lorsqu'il vient dans notre maison. L'arbre ne refuse jamais l'abri de son ombrage au bûcheron.
Dédaigne de loger dans la maison de la fortune, c'est une capricieuse qui n'a jamais connu le droit de l'hospitalité.
Un hôte à la maison, Dieu à la maison.
L'hôte et le poisson en trois jours sont poison.
Ne reproche pas l'aigreur de son fruit à l'arbre qui te couvre de son ombre hospitalière.
Lorsque les résidents sont modestes, la maison est bien assez grande.
On reçoit l'hôte avec du pain, du sel et du cœur.
Reçoit ton hôte comme tu aimerais chez lui être reçu.
L'hospitalité est un trésor.
Si la maison est petite, le cœur est grand.
Beaucoup de convives épuisent la bourse de l'hôte.
Un aubergiste aime son hôte tant qu'il a de l'argent dans sa bourse.
L'hôte est l'invité mandaté par Dieu.
Après trois jours, le poisson et l'hôte ont mauvaise odeur.
Si tu es au milieu des crapauds accroupis, ne demande pas un tabouret.
Qui donne du mauvais vin à ses hôtes ne boit chez eux que du thé.
Selon l'habit, l'hospitalité.
L'hôte et la pluie après trois jours ennuient.
Qui compte sans son hôte compte deux fois.
L'hôte est un envoyé de Dieu, on doit l'accueillir avec beaucoup de respect.
Où l'hospitalité est belle, le vin est bon.
L'hospitalité donne des droits qu'elle refuse au père.
Que celui qui réside fasse en sorte que celui qui passe se souvienne.