Farine nouvelle et pain tendre concourent à la ruine d'une maison.
Sans t'occuper de ton prochain, chrétiennement gagne ton pain.
A pain de quinze jours faim de trois semaines.
Le pain consommé rend le travailleur paresseux et en fait un mauvais payeur.
Il n'est pain que de froment, il n'est vin que de sarment.
Pain d'hier, chair d'aujourd'hui et vin d'un an font l'homme sain.
Avec une croûte de pain la joie éclate sous un sapin, mais sans un morceau de pain la tristesse se répand même sous les toits.
Quand on a du pain, les malheurs se sentent moins.
Faute de pain les gâteaux sont bons.
A mal enfourner, on fait des pains cornus.
Avec un morceau de pain on trouve le paradis sous un sapin.
On ne fait pas fumier du pain.
Une miette de pain chez moi vaut mieux que toute une miche au-dehors.
Un-demi pain plutôt que sans pain.
Sème de bonne heure et taille tard, tu auras du pain et du vin.
De tout s'avise à qui pain faut.
Tout ce qui est blanc n'est pas farine.
Qui ne sait tailler le pain droit ne sait pas vivre avec les hommes.
Selon le pain, le couteau.
Il faudrait ouvrir longtemps la bouche avant qu'un pigeon rôti y tombe.
Qui est vraiment un homme tire le pain même de la pierre.
Le pain est meilleur que le chant des oiseaux.
Que pain brúlė soit chapelé.
Ce sont les mains noires qui font manger le pain blanc.
Mieux vaut un demi-pain que rien.
La faim ne trouve point le pain noir.
Bon pain et bon vin aident à passer le chemin.
Si le pain courait comme font les lièvres plusieurs mourraient de faim.
Quand le pain est arrivé, souvent les dents sont tombées.
Où pain faut, tout est à vendre.
Rompre ne dois un œuf mollet avant que ton pain soit bien prêt.
Le pain est un père ; l'eau est une mère.
Le pain du paresseux est pétri avec de l'eau froide.
Du pain bis, trempé dans un air pur, fait plus de sang que du filet de bœuf mangé dans une chambre fermée.
Celui qui a du pain assuré pour le lendemain mange avec plus de contentement que celui qui ne sait pas encore comment il se nourrira le jour suivant.
Changement de corbillon fait trouver le pain bon.
Beaucoup d'enfants et peu de pain, triste vie !
Tamis trop fin et pain tendre ont toujours fait une mauvaise maison.
Tel se met en peine de farine que son pain est cuit.
Le pain, quand il n'est pas accompagné de quelque chose de gras, s'en va sans mesure.
Il ne faut jamais gaspiller le pain du bon Dieu.
À côté d'un pain il naît un homme.
Au défaut de pâtisserie, mange du pain.
On se rassasie aussi bien avec du pain noir qu'avec du pain blanc.
Le pain est notre père, la bouillie notre mère.
Ne sait que vaut pain sur terre, qui n'a connu la guerre.
Le pain acquis par le travail seul peut être savouré.
Nul ne sait ce que le pain vaut, qui ne prend peine quand il faut.
Qui tout mange le soir, le lendemain ronge son pain noir.
Le seigle est pour toutes les bouches ; le froment pour les délicats et les riches.
Sème-moi dans la cendre, dit le seigle, et tout ira bien.
L'homme ne vit pas seulement de pain.
Quand vient Jean son morceau de pain l'accompagne. (Les enfants ont toujours faim.)
L'espérance est le pain du pauvre.
À eux sept, ils ont deux pains, et moi, le pauvre, un seul.
Mieux vaut du pain sec chez soi qu'un rôti chez autrui.
Un maître est bon quand il est nouveau, mais le vin et le pain sont bons quand ils sont vieux.
Pain de jeunesse se pétrit en jeunesse.
Gentilhomme ne mange pas le pain de maïs, mais quand il aura faim, il ne dédaignera rien.
Qui vend son fumier vend son pain.
Le pain de noces coûte cher à qui le mange.
On ne peut pas faire cuire le pain dans un four refroidi.
Ne refusez du pain à personne, pas même à celui que vous ne devez jamais revoir.
Il vaut mieux manger du pain de son que de n'en manger pas du tout.
Le meilleur pain et le plus salutaire, est le sué pour l'ordinaire.
Les miettes sont encore du pain.
Le pain de la nourrice est plus doux que le gâteau de la mère.
Où il y a pain, il y a souris.
On donne toujours du pain à celui qui en a déjà.
Qui sème bon grain récolte bon pain.
Suave est l'eau volée, délicieux le pain dérobé.
Terre noire donne pain blanc.
Dans ta bouche le pain volé se change en pierre.
Pain en poche vaut mieux que plume sur chapeau.
De celui dont je mange le pain, je chante aussi la chanson.
Les mains noires font le pain blanc.
En voyant le chien gros et sain, nul n'est besoin de voir le pain.
Pain frotté d'ail, repas de travail ; ail dans la chair, repas trop cher.
Le pain dur, tient le logis sûr.
Qui mange le pain sans pitance, le mange avec trop d'abondance.
Pain d'un jour, vin d'un an et farine d'un mois.
Après le bon pain, le bon vin.
Qui moissonne et sème soudain, sur chaque sillon perd un pain.
Le pain d'autrui a sept croûtes.
Pain trop tendre et bois trop vert mettent la maison au désert.
Qui mange aujourd'hui son pain blanc mangera plus tard son pain noir.
Chaque jour amène son pain.
Du vin, du fromage et du pain, font un bon festin.
Augmente le poids du pain, et tu le vendras bien.
On ne donne pas du pain de huit jours au fils du boulanger.
Le pain dérobé a meilleur goût pour le voleur que le pain acheter.
Tant en Brie qu'en Champagne, il n'a du pain qui ne le gagne.
Vin trouble, pain chaud et bois vert, acheminent l'homme au désert.
À grand banquet petit pain.
Du pain et du vin sont pour le pauvre un festin.
Selon le pain le couteau.
Jamais ne vienne demain, s'il ne rapporte du pain.
A mal enfourner on fait les pains cornus.
Pain d'autrui a bon goût.
Le pain ne dispute pas avec le sel.
Pain et eau, mets de soldat.
Le pain coupé n'a point de maître.
Un morceau de pain avec amour vaut mieux qu'une poule avec douleur.
S'il pleut en mai, tu auras du pain pour toute l'année.
Le pain qui sort de la maison du roi n'est jamais mauvais.
Si tu te trouves sans chapon, sois content de pain et d'oignon.
Le pain tombe toujours du côté qui est beurré.
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
Frais mai et chaud juin amènent pain et vin.