Le chien aboie pour son propre compte et le maître croit que c'est pour lui.
Sous la tente du maître, sa tente est la tente de la sûreté.
Chacun est le maître chez soi, et se croit un petit roi.
Apprenti n'est encore maître, mais il court après pour l'être.
Tu es le maître, je suis le maître ; qui de nous deux gardera les moutons ?
Arrange-toi d'un mauvais maître, de peur d'en trouver un plus piètre.
Qui sert au commun a un méchant maître.
Celui qui a une femme a un maître.
Au valet, patience ; au maître, prudence.
Bon maître, hardi valet.
Si tu veux avoir un bon serviteur fais que ton serviteur ait un bon maître.
Charbonnier est maître chez lui.
L'œil du maître n'engraisse pas moins le terroir que le cheval.
La nécessité est un maître absolu.
Qui mange des poires avec son maître ne choisit pas les meilleures.
Besogne à la guise du maître vaut mieux que besogne bien faite.
En apprenant on devient maître.
Le titre ne fait pas le maître.
Ouvrage trop bien fait fait crever son maître.
Quand un disciple cite une parole de son maître, il doit la rapporter exactement et se servir des mêmes termes dans lesquels son maître s'est exprimé.
Il n'est ouvrage que de maître.
Quand le maître a des chausses de velours le serviteur en doit avoir d'écorce de chêne.
L'homme est indigne de l'être, si de sa femme il n'est maître.
Quand on voit le chien, le maître ne suit pas loin.
Le fils du maître porte le droit avec lui.
L'homme est naturellement enclin à détester son maître.
Le maître est dans sa maison comme le Khan en Crimée.
Sois le maître chez toi, que ta femme ne porte pas la culotte.
Ici, il y a trop de maîtres, disait le crapaud sous le sarcloir.
Une besace bien promenée nourrit son maître.
Il n'est bon maître qui ne faille.
Tout ce qui naît dans le parc est au maître du parc.
Le chien est plus sensé que la femme, il n'aboie pas contre son maître.
Le pied du maitre est le meilleur engrais.
Les apprentis ne sont pas maitres.
Les deux plus froides choses qui soient à la maison sont les genoux du maître et le museau du chien.
Le maître des maîtres est le travail.
Soyez le maître chez vous, et ne cherchez pas à l'être chez les autres.
Prends maître et tu sauras ce que c'est que souffrir.
Qui a science a un bon maître.
Si tu veux devenir bon maître, apprends premièrement à être bon serviteur.
Quand le maître est parti, les murs de l'izba pleurent.
En quelque lieu que tu entres, sois maître de tes yeux et de ta langue.
Le vrai sage est celui qui s'est rendu maître de ses passions.
On n'est pas plus le maître de réformer entièrement ses penchants naturels, qu'on ne l'a été de se donner telle ou telle constitution.
Tel maître, telle école.
Vigne est sans prix quand elle est près du maître.
Qui veut devenir maître de bonne heure doit être compagnon longtemps.
Quiconque a sa vie en mépris est maître de celle d'autrui.
L'exercice fait le maître.
Le maître, dès son réveil, au ménage est un soleil.
Porte battante se déjette, maître indolent est mal servi.
L'autorité du maître passe avant l'utilité du serviteur.
Un bon maître n'est jamais avare de ses conseils.
Aucun œil comme l'œil du maître.
Qui sait attendre est maître de lui et des circonstances.
Le coup d'œil du maître vaut pour le cheval un pansement.
Maître Misère apprit à Dalibor à jouer du violon.
On caresse souvent le chien par crainte du maître.
Au-dessus de l'ordre du maitre est l'ordre de Dieu.
Un homme est maître chez lui, ne fût-il pas plus grand qu'une souris.
En toutes choses, l'expérience est le meilleur maître.
Sois en même temps ton maître et ton serviteur, mais ne le sois que de toi seul.
Tel maître, tel homme (Tel maître, tel valet)
Qui méprise la vie est maître de celle d'autrui.
Le maître qui châtie l'enfant donne un baiser à la mère.
Qui a un associé a un maître.
Il faut être maître de soi pour être maître du monde.
Le temps sera le maître de celui qui n'a pas de maître.
Le pire des maîtres est celui qui n'inspire que la terreur aux gens de bien, et de l'espérance aux méchants.
Qui quitte son maître, souvent regrette.
On n'appelle point grand celui qui n'est maître de lui-même.
Si tu veux un maître, fais de ton fils un moine ; si tu veux une servante, fais de ta fille une nonne.
Quand on est son propre maître, on ne se sent pas victime de son environnement.
Ce que maître veut et valet pleure, sont larmes perdues.
On ne naît pas maître dans son art.
Qui dépend d'autrui n'est plus maître de sa vie.
À ton maître, ne jette point de petites pierres, de peur qu'il ne t'en jette de grosses.
Qui d'amour veut faire son maître, courtois et sans orgueil doit être.
C'est à la troisième fois que l'on voit les maîtres.
Devenir le disciple d'un maître, c'est comme une nouvelle naissance.
L'amour n'a pas besoin de maître.
Le maître était sucre brut, l'élève devint sucre raffiné.