La capitale a bien des charmes, mais le foyer a toujours le sien.
Pour garder ton logis, n'aie qu'un huis.
Selon l'oiseau, le nid ; selon l'homme, le logis.
Il n'y a pas de beau foyer sans belle cheminée.
Ne chasse pas de la porte de ton foyer celui qui réclame ton assistance.
L'oiseau de race vante toujours son gîte.
Qui dans son foyer n'héberge personne, en voyage sera l'hôte de bien peu de gens.
Ne jette point dehors l'ordure du logis.
En un logis deux femmes, c'est grand débat.
Heureux l'homme de bien qui considère son foyer comme l'unique asile du bonheur.
Qui épouse une veuve trouve un foyer tout dressé, mais beaucoup à penser.
Le foyer mal tenu mange le produit des meilleurs champs.
Charité commence au logis.
Qui veut se tapir en son foyer est plus libre que le doge de Venise.
Chaque lampe éclaire son foyer.
Il n'est de sûr abri qu'au foyer domestique.
Là où est le cœur, là est le foyer.
Chacun est le meilleur gardien de son logis.
Il n'y a pas de foyer sans colère (dispute).
Ce que l'enfant entend au foyer, il le redit à la porte.
Ce qui se dit dans le foyer reste dans le foyer.
Selon l'oiseau le nid, selon la femme le logis.
Si tu es dans l'âge du repos, éloigne tes foyers de la place publique.
Respecte-toi jusque dans ta maison, près de tes foyers.
Au logis n'est rien si du dehors ne vient.
Quand il y a une place dans le cœur, il y en a une aussi auprès du foyer.
Le foyer se repose sur la mère.
Un foyer à soi est de l'or.
La place de la femme est au foyer.
Un mauvais foyer t'enterre vivant.
Point de femme aussi belle que celle qui entretient son foyer.
Les hommes font les maisons, mais les femmes font les foyers.
Ce que l'enfant écoute au foyer est bientôt connu jusqu'au moutier.
Le foyer de l'ingrat est plus froid que la cendre des tombeaux.
Si près que soit la maison de Dieu, ton foyer est encore plus proche.
Avant d'éteindre la maison de ton voisin, éteints les flammes de ton logis.
Qui ne connaît pas le destin vante son foyer.
Si tu ne peux pas être une étoile au firmament, soit une lampe chez toi.