Entre les pauvres qui peuvent être l'objet de votre bienfaisance, vous devez surtout préférer ceux qui, ayant de la conduite et de la vertu, ne méritent pas leur mauvaise fortune. Attachez-vous par préférence aux vieillards, aux malades, aux pauvres honteux, aux personnes malheureuses que votre charité pourra retirer du désordre ou empêcher d'y tomber.