Les citations, pensées et mots de célébrités :
L'hypocondrie fraye la voie à la connaissance corporelle de soi-même - à la domination sur soi-même - à l'animation de soi-même.
La facilité à se rectifier soi-même va croissant avec la culture. Un bon esprit est celui qui découvre vite ses bévues et fait perpétuellement son propre erratum.
On est généralement plus exigeant pour les autres qu'on ne voudrait qu'ils le fussent pour soi-même.
L'homme qui sait se suffire à soi-même, se soucie peu de ce qui se passe autour de lui.
Qui connaît l'art de vivre avec soi-même ignore l'ennui.
On n'est franc que quand on l'est contre soi-même.
On ne juge souvent les autres que d'après soi-même.
La plus belle et la plus nécessaire de toutes les connaissances est la connaissance de soi-même.
On conseille les autres bien mieux que soi-même.
L'empire le plus grand est celui qu'on a sur soi-même.
La solitude est nécessaire pour reprendre l'équilibre, et faire le point avec soi-même.
Quatre-vingt ans en compagnie de soi-même c'est assez, voir même trop.
La critique de soi-même tue la confiance.
On ne fait bien que ce qu'on fait soi-même.
On ne doit mettre son espoir qu'en soi-même.
Si la connaissance de soi-même est le chemin qui conduit à la vertu, la vertu est bien plus véritablement le chemin qui conduit à la connaissance de soi-même.
Ne pas s'accepter soi-même, c'est protester implicitement contre le ciel.
Rien n'est aimable pour soi-même que ce qui peut nous rendre heureux.
Savoir demeurer avec soi-même, c'est la marque d'un esprit bien fait. Qu'il est doux d'y rester, quand on s'en est rendu la jouissance agréable !
La modestie est l'art de faire dire par d'autres tout le bien que l'on pense de soi-même.
Le respect de soi-même exclut tout ce qui est petit, bas, vulgaire, c'est-à-dire toujours égoïste.
Il n'y a de bonne recette pour trouver le bonheur que de prendre le temps comme il vient, les gens comme ils sont, et d'être bien avec soi-même.
Il est nécessaire pour n'être pas jugé de ne point juger les autres, et de se juger soi-même.
On estime bien souvent sincèrement que ceux qu'on n'estime ne pas être au-dessus de soi-même.
En s'étudiant parfaitement soi-même on parvient quelquefois à bien connaître les autres.
On n'est jamais autant estimé par un autre que par soi-même.
Se supporter soi-même est le plus difficile, surtout pour ceux qui ne sont que des poules mouillées.
Pour peu qu'on veuille de bonne foi s'examiner soi-même, on s'aperçoit aisément du peu que l'on vaut, et l'on n'est pas tenté d'être fier et orgueilleux. On ne s'estime pas au-delà de ce qui convient, et on purifie son esprit et son cœur du dangereux poison de la vanité et de la hauteur.
Il fait vivre aussi pour les autres, et non pas que pour soi-même.
La recherche de soi-même gâte tout, l'oubli de soi-même relève tout.
On n'est jamais si bien servi que par soi-même.
Qui veut toujours juger des autres par soi-même a tort.
Porter davantage sa pensée en soi et avec soi ; avoir plus de foi en soi-même, plus d'élan et moins de réflexion ; être son propre public et être devant l'autre semblable à soi-même, égal d'âme et toujours naturel : voilà ce qu'il faut chaque jour être.
Chacun ne peut juger que d'après soi-même.
Ne pas s'accepter soi-même, c'est protester implicitement contre le ciel, en répudiant son cadeau et en repoussant sa consigne.
Il est un moment de la vie où l'on n'a plus d'exigence qu'envers soi-même.
C'est en fréquentant les autres que l'on apprend à se connaître soi-même, et réciproquement.
On parle toujours trop de soi-même à ceux qui ne nous comprennent pas.
Il faut être soi-même pour pouvoir aimer.
Le mécontentement de soi-même rend mécontent de tout le reste.
La naïve satisfaction de soi-même, avec laquelle les êtres les plus chétifs, se cramponnent à leur existence et à leur inanité, m'émerveille toujours.
Vouloir prêcher aux autres sans se prêcher soi-même, c'est vouloir bâtir une maison sans commencer par la base, et à ce prix, l'édification est impossible.
C'est de l'amour de soi-même que la règle de l'amour du prochain tire sa lumière.
Le pire mensonge est de se mentir à soi-même.
Aimer les autres comme soi-même implique que l'on ait quelque raison de s'aimer soi-même.
La vraie, la bonne simplicité, être soi-même, fait la parfaite politesse.
Vouloir être aimé pour soi-même c'est parfois trop demander.