Les 39 pensées et citations sur le thème : La mort c'est...
La mort est une halte dans la vie, un temps de jachères, auquel succèdent de nouvelles moissons !
La mort est le terme de tout ce qui existe ; le tombeau est pour tous le dernier asile.
Qu'est-ce que la mort ? Le lendemain des grandeurs, des richesses, des plaisirs. On se couche dans les pompes et dans les voluptés, on se réveille dans le sépulcre, sous un froid linceul, entre l'oubli de la terre et l'éternité de l'enfer ou du ciel.
La mort est variée à l'infini, mais toujours bouffonne à l'instar de la vie, qui n'est qu'une sérieuse pantalonade.
La mort est comme un tigre caché dans les herbes.
La mort la plus lente et la plus horrible, c'est celle de la faim.
La mort est une chose sérieuse : on meurt en héros, ou en idiot.
La mort vaut mieux que l'absence.
La mort des hommes heureux n'est pas grieve, elle est heureuse.
La mort de l'un fait parfois la joie de l'autre.
La mort n'est pas drôle parce qu'elle ne supporte pas la répétition.
La mort se plaît à la surprise.
La mort est un événement inévitable, la confirmation des testaments.
La mort est le larron des hommes.
La mort est un voyage incertain, un sujet de pleurs pour les vivants.
La mort d'un honnête homme est un poids éternel.
La mort est le plus grave malheur pouvant frapper l'homme.
La mort n'est en réalité qu'une banqueroute définitive.
La mort est une loi et non un châtiment.
La mort est une bonne mère qui berce et endort ses enfants quand ils ont du mal.
La mort est un manque de savoir-vivre.
La mort rattrape qui la fuit.
La mort n'est qu'un épouvantail.
La mort c'est plus marrant, c'est moins désespérant, en chantant.
La mort accumule le désespoir, mais c'est peut-être le désespoir qui fait désirer la mort.
La mort, c'est la fin d'un monologue.
La mort n'est pas une chose si sérieuse ; la douleur, oui.
La mort, c'est une évasion définitive.
La mort peut venir, elle me trouvera sans crainte.
La mort est la douleur d'un moment ; la pauvreté n'a pas de fin à son tourment.
La mort ressemble à un profond sommeil dont la tranquillité n'est troublée par aucun songe.
La mort nous enlève, non pas des biens, mais des maux.
La mort ne manque à personne, quand on la préfère à la honte.
La mort ne fait jamais attendre au malheureux qui la cherche.
La mort n'est qu'un instant que le grand cœur défie, et que le lâche attend.
La mort semble bien moins terrible, quand on est fatigué.
La mort n'est rien, nous ne naissons que pour nous y soumettre.
La mort, c'est tellement obligatoire que c'est presque une formalité.
La mort est une grande femme fort belle, à laquelle il ne manque que le cœur.