Quand on se mêle de secourir, de faire le bien, d'aider les malheureux, quand on se convertit, on découvre bien souvent que tel homme qu'on prenait depuis vingt ans pour un indifférent, un égoïste, un futile, est tertiaire de saint François et consacre la moitié de ce qu'il gagne aux bonnes œuvres.