Entre les quatre mers, tous les hommes sont frères.
Je suis tombé dans un puits, et tu veux me mener à la mer ?
On ne peut mettre la mer en un puits.
Si les vagues de la Méditerranée ne se brisaient pas et si celles de la Mer Noire se brisaient, aucun vaisseau ne pourrait naviguer.
Homme de mer, touche lui la main et tourne lui le dos.
Un navire tient plus solidement avec deux ancres qu'avec une seule.
Si vous êtes sur la mer, naviguez, si vous êtes sur terre, installez-vous.
Le navire navigue sur la mer et l'homme navigue en ses pensées.
Quelle peur peut-il avoir des vagues de la mer celui qui a Noé pour pilote ?
Si la mer bouillait trois heures, il y aurait beaucoup de poissons cuits.
Le vent et la mer se battent ; pour le coup, disent les navires, c'est nous qui en pâtirons le plus.
Chacun à son poste sur le bateau comme on dit, et le navire voguera droit.
Il ne doit jamais y avoir deux grands mâts (capitaines) sur un navire.
Si l'on met deux capitaines dans navire, le bâtiment va au fond.
La tempête se reconnaît sur le visage du marin.
En temps de tempête, tous les ports sont bons.
Le bateau en papier, s'il ne sombre pas aujourd'hui, sombrera demain.
Pour une barque désemparée, tous les vents sont des tempêtes.
Mieux vaut marcher pauvre sur ses pieds que naviguer riche.
Le voyage par terre le plus pénible est préférable au plus agréable voyage sur mer.
La femme du capitaine du navire est dans une heureuse condition tant que le bateau est sauf, mais s'il est perdu, elle est obligée de mendier.
La mer fait les uns riches, et les autres pauvres.
Celui qui ne va pas sur la mer ne sait pas ce que c'est que Dieu.
Le matelot ne pense à Dieu que le jour de la tempête.
L'océan peut-il être diminué par le chien qui y boit ?
L'océan peut-il être rempli par la rosée du matin ?
Méfie-toi d'une chose comme de la marée qui porte au vent.
Ce qui vient par tribord s'en va par bâbord.
Grand navire veut grande eau.
Le sépulcre, la vulve, la terre seiche, la mer et le feu ne disent jamais : c'est assez.
La barque est une folle, car elle se remue toujours ; le marinier est un fou, car il change d'opinion à tout vent ; l'eau est une folle, car elle n'est jamais en repos ; le vent est un fou, car il court sans cesse. Concluez à présent sur la navigation.
Celui qui se met sur la mer, ou il est fol, ou il est pauvre, ou il a envie de mourir.
La mer a le ventre mou, mais la tête dure comme du bois.
La mer n'a pas de branches auxquelles on puisse s'accrocher.
En voyagement prise la mer, mais te tiens à la terre.
Si tu veux apprendre à prier, va sur la mer.
Admirez la mer tant qu'il vous plaira, mais ne bougez pas du plancher des vaches les jours de tempêtes.
Louez la mer et accrochez-vous à la terre.
Si l'homme était un fleuve (une mer), la femme en serait le pont.
L'amour est né dans les mers, il s'allume au milieu des eaux.
Mer claire et montagne obscure annoncent la pluie sûre.
Au-delà des mers il fait plus chaud, mais il fait plus clair chez nous.
Qui s'embarque seul sur la mer court danger de se noyer
La mer n'a pas de bornes ; le Kiang (fleuve chinois) n'a pas de fond.
On connaît le marin quand survient la tempête.
Louez la mer, mais tenez-vous sur le rivage.
L'eau coule toujours vers la mer.
Il faut naviguer d'après le vent.
Le bateau va mal sans gouvernail.
Il en est de la cour comme de la mer ; le vent qu'il y fait décide de tout.
À l'impossible autant vouloir essayer de sécher la mer avec des éponges.
Il faut louer la mer et se tenir en terre.
Si tu as recueilli les perles de l'Océan de la sagesse, répands-les sur les humbles.
Ne fais rien étant en colère ! Pourquoi sortir en mer pendant la tempête ?
Il faut avoir navigué soi-même sur la mer agitée pour en connaître les dangers.
Celui qui a bu la mer peut boire le Rhône.
C'est un homme âgé, il se souvient du creusement de la mer.
Il ne faut qu'un petit trou pour noyer le plus grand navire qui soit sur la mer.
Vantez la mer, mais restez à terre.
Tout impôt des digues embrasse les terrains que la mer menace.
Qui craint l'eau et le vent, ne se risque pas sur l'Océan.
Vaisseau en mer qui prend eau, est moins maison sûre que tombeau.
Il est prudent d'avoir deux ancres pour maintenir son vaisseau.
On ne peut pénétrer les profondeurs de l'Océan pour avoir ramassé quelques coquilles sur le rivage.
Le vent de mer et l'air salin poussent la haie sur le voisin.
Les endigueurs contre la mer, votent la loi de leur polder.
Si traîtresse que soit la mer, plus traîtresses les femmes.
Donner aux riches, c'est porter de l'eau à la mer.
C'est en mer agitée qu'on reconnaît la qualité du bois du bateau.
Qui veut faire son chemin, suive la cour, l'église, ou la mer.
La mer la plus profonde a un fond, la montagne la plus haute a une cime.
À la mer il manquait un caillou, se disait l'idiot.
Par les cuillerées on peut tarir la mer.
Descends la rivière si tu veux atteindre la mer.
Il ne fait sûr en mer, ni au milieu, ni à la rive.
Qui entre en barque n'a pas toujours le vent comme il veut.
Qui est sur la mer ne fait pas des vents ce qu'il veut.
La rosée effraie-t-elle celui qui dort sur la mer ?
On n'a rien sans peine, il faut plonger dans les abîmes de la mer pour avoir des perles.
L'urine d'un chien ne souille pas la mer.
Tous les fleuves vont à la mer et la mer n'en déborde pas pour autant.
Celui qui a fait naufrage redoute la mer même tranquille.
Le lac ne peut se comparer à la mer.
Sous une voile, il est facile de ramer.
La mer n'a point de bornes, et le Kiang point de fond.
Poisson d'eau douce ne descend pas dans la mer.
La terre est gouvernée par la bouche, et la mer par la main.
Aime le rivage par temps de tempête, et laisse aux autres la pleine mer.
On a beau passer les mers, on change de climat et non pas d'humeur.
Le requin se met en colère, et la mer se calme.
Qui a bu toute la mer en peut bien boire encore une gorgée.
L'homme qui ne sait pas prier doit aller en mer un jour de tempête.
Que celui qui veut apprendre à prier aille sur la mer.
Quand la mer fructifie, la terre fructifie.
Avant d'être capitaine il faut être matelot.
Une mer calme n'a jamais fait un bon marin.
Les eaux vont et viennent, le sable restera.
Quand la brume est sur le bord de la mer, la pluie se rapproche.