La sobriété est l'amour de la santé.
Le monde n'est qu'une maison de santé dont les pensionnaires s'estiment tous valides.
La santé est d'un plus grand prix que les richesses d'un malade ; et il n'y a personne qui ne préfère la santé d'un homme dans la médiocrité aux richesses d'un roi accablé de maladies.
L'idéal serait d'être d'une bonne santé contagieuse.
Le premier bien est la santé, le deuxième la beauté, le troisième la richesse.
Qui a toujours joui d'une santé robuste ne peut connaître la douleur.
La santé, c'est la jeunesse, car la maladie peut faire un vieillard d'un jeune homme.
La force est une félicité, la santé un paradis.
Sans la sagesse, point de santé ; sans la santé, point de bonheur.
La santé, c'est la vie dans sa plénitude et dans sa liberté ! Malades, nous ne voyons pas juste et nous perdons la puissance d'aimer.
On apprécie réellement sa santé que quand on est gravement malade.
La vie ne consiste pas dans l'existence, mais dans la santé.
Sans la santé, point de clairvoyance morale.
La santé, comme la fortune, retire ses faveurs à ceux qui en abusent.
La santé donne de plus véritables plaisirs que les plaisirs mêmes.
La santé est beaucoup plus que l'absence de maladie.
L'activité donne l'aisance ; l'aisance est mère de contentement et santé.
La santé de l'âme vient du repos de la conscience.
Ma santé, c'est mon trésor ; et bonhomme vit encore !
La santé est le maximum d'énergie de chaque partie compatible avec l'énergie du tout.
Ne néglige pas ta santé : donne à ton corps, mais avec modération, le boire, le manger, l'exercice. La mesure que je te prescris est celle que tu ne saurais passer sans te nuire.
Santé, premier des biens après la paix du cœur, santé, je soupire après toi.
La santé ne s'accorde pas avec la débauche.
La joie de l'âme conserve la santé du corps, et le repos de la conscience sert de consolation à l'un et à l'autre dans toute sorte d'afflictions.
Ce n'est pas vivre que de n'avoir point de santé.
Il n'existe point pour l'homme de bien plus précieux que sa santé.
La santé est quelquefois plus maligne et pernicieuse encore que la fièvre.
La vie se perd à chercher son rythme et son bien-être, quand la santé est chancelante, rien n'y remédie.
Il est permis de demander la santé à Dieu, comme à celui qui peut seul nous la donner, avec cette condition, si telle est sa volonté.
La santé par-dessus tout l'emporte sur les biens extérieurs.
Être en bonne santé, c'est pouvoir abuser de sa santé impunément.
On apprécie à sa juste valeur sa santé qu'après l'avoir perdue.
La mauvaise santé est la raison primordiale de tout ce qui est vie.
La bonne ou mauvaise santé fait notre philosophie.
La santé et le bonheur sont le seul chantage des dieux.
Heureux celui qui a de quoi vivre et la santé?