Ceux qui promettent le plus aisément sont ceux qui sont le moins en état de remplir leurs engagements. C'est une grande imprudence de vouloir, par des promesses, se faire des amis pour quelques moments, et se les rendre ennemis pour longtemps en leur manquant de parole.
À former les doux nœuds d'un tendre engagement, ne mettons point de négligence.
Vivre par secousses plus que par engagements est une erreur dizzyesque. La grande vie, c'est le couple. Le mariage cinglé reste la dernière frontière à conquérir.
L'insouciance envers les devoirs, les dettes et les engagements est un tort grave.
Le fondement de la justice est la bonne foi, c'est-à-dire le respect de notre parole, et l'inviolable fidélité à nos engagements.
Il y a des engagements si sérieux qu'un homme perd son honneur à ne pas les remplir.
Quand on fait un semblant de promesse à une femme, on est fichu. Elle transforme aussitôt ce semblant de promesse en engagement sacré. Elle vous le rappelle tous les jours, elle vous harcèle, la vie devient intenable, jusqu'au moment où, vaincu, l'homme cède.
Pour un cœur bien né, une promesse équivaut à un engagement.
Si la probité et la bonne foi doivent répondre de notre parole, la prudence et la sagesse doivent présider à nos engagements. C'est n'être ni prudent, ni sage, que d'être trop facile à promettre : mille circonstances imprévues peuvent vous en faire repentir.
Tenez votre parole inviolablement, un engagement doit toujours être honoré.
Un engagement qui doit durer ne se doit jamais faire qu'avec de grandes précautions.
L'amitié c'est des engagements réciproques, où l'on ne compte rien, où l'on n'exige rien.
Un contrat de mariage est souvent, entre les parties, l'engagement de ne point vivre ensemble.
La différence entre l'amour et l'amitié, dans l'amour les engagements sont mille fois plus sacrés.
Remplir tous ses engagements au pied de la lettre et à l'échéance convenue est un devoir.
Un mariage ne se construit pas sur des promesses vaines, mais sur des engagements réels et sérieux.
Je n'aime pas qu'on prenne des engagements qu'on ne puisse remplir.
Le mariage est un engagement sacré où la nécessité de s'aimer, je veux dire de vivre ensemble comme si l'on s'aimait, produit nécessairement le contraire.
Un engagement mutuel est sacré lorsque les avantages qu'il procure sont réciproques.
Quiconque viole un engagement dégage celui qui l'a souscrit.
On se repent à loisir des engagements faits à la hâte.
C'est quelquefois par inconstance qu'on revient à un premier engagement.
Toutes les lois doivent avoir pour objet la sûreté publique. Quand l'homme vient à s'écarter, par sa mauvaise conduite, des devoirs sacrés que la société lui impose, qui est-ce qui pourrait l'obliger de remplir ses premiers engagements envers elle, ou le punir d'y avoir manqué, s'il n'existait pas de lois ?
Il n'est d'engagements sacrés que ceux du cœur.
Les engagements inconsidérés font ressembler l'homme à un immeuble grevé d'hypothèques.
Les engagements sont sacrés, mais il faut savoir mettre un terme aux demandes. Elles ne sauraient se grossir chaque jour de prétentions individuelles, qui deviendraient enfin non moins impossibles à évaluer qu'à satisfaire.
La fidélité est la constante observation des devoirs imposés par nos engagements.
Qui contracte un engagement doit tenir son serment?