Les 61 pensées et citations sur entreprise. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur entreprise :
En nous acharnant à des entreprises impossibles, ou en entreprenant gauchement celles qui sont réalisables, nous sommes les propres artisans de nos insuccès ; mais nous nous en prenons à Voltaire et à Rousseau, nous nous en prendrions aux habitants de la lune, plutôt que de convenir que la faute en est à nous.
Je suis impropre au travail soutenu, à toute entreprise audacieuse.
Il y a des situations où il ne faut tenter une entreprise qu'à la condition d'un succès complet, et où le plus simple échec équivaut à une défaite.
Un tient me paraît mieux que dix-neuf tu l'auras ; ce qui bouge aisément se brise ; aussi je n'ose rien me mettre sur les bras, et j'écarte toute entreprise. Un timoré ne peut qu'être conservateur et rester sur la défensive, le destin peut sourire : à bas le tentateur, ne mettons rien à sa lessive !
Le silence est d'un augure favorable pour le succès d'une entreprise.
Nos conceptions et nos entreprises devraient être en elles-mêmes si belles et si pures, que le monde ne pût que les gâter en les touchant ; par là nous conserverions l'avantage de pouvoir remettre à sa place ce qui aurait été dérangé, et réparer ce qui aurait été défait.
Celui qu'une contrariété fait renoncer à son entreprise est semblable au nautonier qui jetterait à la mer la voile à laquelle l'ouragan aurait fait une déchirure.
L'entreprise parfois paraissait impossible, et souvent elle réussit complètement.
Rarement les grandes entreprises réussissent du premier coup ; on dirait qu'il faut qu'elles s'aiguisent d'abord contre les obstacles de tout genre.
La stabilité fait seule le bonheur d'un peuple, sans confiance dans l'avenir, point d'esprit vital dans la société, point de commerce, point d'entreprises bienfaisantes ; les masses souffrent de la stagnation de tous les éléments de prospérité qui sont arrêtés par la crainte d'un bouleversement prochain.
Dans les entreprises, il existe trois sexes : hommes, femmes et dirigeants de très haut niveau.
La parité dans l'entreprise sera un objectif illusoire tant que le travailleur ne disposera pas d'un décolleté et d'une croupe.
Il vous engage à ne pas vous rebuter au moindre obstacle ou au premier accident. Ce serait le moyen de ne jamais réussir dans aucune de vos entreprises.
Ne poursuivez jamais que des entreprises honorables et, pour arriver à votre but n'employez jamais que des moyens honnêtes.
Les jeunes gens croient qu'il faut se lancer dans les entreprises après avoir mûrement médité et élaboré des plans minutieux. Or, c'est faux. Ne réfléchissez jamais avant. Réfléchissez après. Votre pensée en effet est alors soutenue par quelque chose de réel, par quelque chose qui existe. Il lui faut se plier à des aspérités, trouver des expédients, faire face à des difficultés, tous travaux où elle est fort à l'aise et qui la stimulent continuellement.
Par manque d'entreprise et d'audace, on rate les bonnes occasions.
Tyrans : Se rencontrent aujourd'hui plus souvent dans les familles et dans les entreprises qu'à la tête d'un État.
Il est dur de se voir souffler à la fois son entreprise et ses idées par des amis.
Il est téméraire de former des entreprises qui consument beaucoup de temps. La tyrannie d'une occupation trop prolongée est souvent fatale. C'est pour cette cause que les hommes adonnés à des professions laborieuses, les jurisconsultes, les orateurs, les théologiens les plus savants, ne savent point fonder leur fortune ni l'agrandir.
Dieu se plaît avec les simples. Il les assiste et il bénit leurs travaux et leurs entreprises.
La patience vient mieux à bout des entreprises que la force.
Le moyen de réussir dans ses entreprises est de les cacher.
L'à-propos est, dans toutes les entreprises, la maîtresse pièce de réussite.
Toute entreprise est un clou planté qui déchire s'il n'est utile.
Ce n'est pas par hasard que la France a donné le jour à Tartufe ! La France est un pays peuplé de petits envieux, ennemis déclarés de toute entreprise hardie qui a réussi, prompts à se scandaliser de tout succès rapide qui ne se fait pas absoudre par le nombre des années ; la France est un pays peuplé de faux puritains, où ce sont les moins délicats qui sont les plus intolérants et les premiers à crier à la répression de l'agiotage, comme si les spéculations des individus n'aboutissaient pas à faire la richesse des nations.
Les Français ont une malheureuse prétention, c'est de vouloir qu'aucune éventualité ne les prenne au dépourvu, et de croire qu'il n'y a pas d'entreprises au-dessus de leurs forces et de leur courage. C'est de cette prétention que naît leur faiblesse.
On affronte plus aisément la difficulté d'une entreprise, quelque grande qu'elle soit, quand on est soutenu par l'espoir d'une récompense assurée.
Celui-là seul réussit dans une entreprise qui médite d'avance toute l'affaire.
Comment expliquer aux enfants que nous sommes tous les employés d'une entreprise qui s'appelle l'Univers, qu'il faut être bon élève, participer à l'atmosphère de la maison pour que l'on vous garde ? Dès que vous devenez un boulet, dès que vous ne servez plus à rien, on vous jette. Moi, j'ai envie que l'on me garde. Je me dis : « Il faut que le patron soit content de toi, tu dois travailler un petit peu plus que d'habitude, être encore meilleur qu'avant. » C'est la règle de la vie, la règle du monde dans lequel nous vivons. Pourquoi garderait-on un type qui ne fait plus avancer les choses ? Lorsque vous devenez un emmerdeur de la vie, la vie vous envoie votre lettre de licenciement. C'est pour cette raison que tous ceux qui crachent dans la soupe risquent de la recevoir plus tôt que prévu.
Tous ceux qui adoptent le projet d'une grande entreprise doivent examiner si ce projet est utile, glorieux pour eux-mêmes, d'une exécution facile, ou du moins praticable. On doit considérer aussi celui qui le donne, s'il partage les dangers de l'entreprise qu'il conseille, et en cas que le succès la couronne, à qui en reviendra le plus d'honneur.