La perspective du travail, l'appréhension de l'effort empoisonne chaque instant ; on songe avec terreur à l'ennui de l'exécution, au labeur à fournir, à la fatigue ; on redoute de n'être pas de force, et voilà que tout à coup on décide de s'enfuir. Quand on a pris la décision de ne rien faire, quelle tranquillité aussitôt ! Quelle douceur ! Quelle repos avant le temps !