Pas de fausse honte : si tu ne connais aucun art, vis du travail de la bêche. Il y a toujours du travail pour qui veut travailler.
Si je ne t'envoie pas d'argent, mon fils, c'est pour ton bien. Il faut que tu trimes, que tu connaisses la peine, le travail. Vois-tu, dans le corps de tous les hommes qui sont devenus remarquables, il y a un morceau de vache enragée.
Parler de travail, d'ordre et de paix à des anarchistes, c'est jeter des perles aux pourceaux.
Le travail n'est pas seulement une nécessité, mais surtout un besoin.
Le travail est l'arme défensive de l'homme contre la faux du temps.
Le travail, le grand et riche travail, doit être la consolation dans la souffrance.
Le travail, c'est d'être où l'on n'a pas choisi d'être.
Le travail est à la racine de tout ce qui est laid.
Trop faciliter le travail de l'enfant ou trop édulcorer une médecine, c'est en détruire la vertu.
Les socialistes d'hier proclamaient le droit au travail, ceux d'aujourd'hui le droit au repos.
Toute force humaine naît, subsiste et grandit par le travail ; il n'y a que les badauds pour croire aux improvisations.
Le travail est le seul suicide permis à l'honnête homme.
Les travaux de l'homme ne diffèrent des jeux de l'enfant que par le but ; non dirigés, les ballons sont les bulles de savon de l'âge mûr.
Dépense : J'ai mis quelque temps à m'apercevoir qu'il est beaucoup plus agréable de gagner de l'argent que d'en dépenser. J'étais victime du vieux préjugé selon lequel « le travail est ennuyeux », et le plaisir amusant.
Le bonheur consiste à avoir des heures courtes et des semaines longues, et l'on parvient à ce résultat grâce au travail.
Sans le travail rien n'est facile à l'homme ni aux immortels : Le travail ajoute encore à la vertu.
Un travail réglé et des victoires après des victoires, voilà la formule du bonheur.
L'instruction est l'ornement du riche et la richesse du pauvre, c'est un trésor ; le travail en est la clé.
Il y a une grande différence entre la misère qui provient de la stagnation forcée du travail, et le paupérisme, qui souvent est le résultat du vice.
Souviens-toi, ne l'oublie jamais : il faut se comporter comme un prince devant le travail !
Il faut être vraiment attardé pour s'obstiner à croire aux vertus du travail dans une société où l'effort non sportif a perdu toute noblesse.
Le travail c'est d'être où l'on n'a pas choisi d'être, où l'on est contraint de demeurer, loin de soi et de tout.
Le travail est le garant des bonnes mœurs ; quand il est sanctionné de façon trop sévère, comme c'est le cas maintenant, il perd son aspect aimable qui est le profit.
Le travail noir est la réponse de la nature humaine à la démence de l'État qui force les citoyens à la paresse par ses exactions fiscales.
Le travail noir est au travail déclaré ce que l'adultère est au mariage ; quelque chose de défendu, un péché secret et charmant que l'on emporte en paradis.
Si l'oisiveté est mère de tous les vices, le travail est père de toutes les vertus.
L'ouvrier ne veut tenir compte que du travail manuel. Toute autre besogne n'est à ses yeux que de l'oisiveté déguisée. Administrateur, ingénieur, gens de sciences ou de lettres, gens de loi ou de justice ne sont pour lui que des parasites. Il oublie que le travail manuel, s'il n'est éclairé par la science, dirigé par l'expérience et contrôlé par une bonne administration, ne saurait donner que de médiocres résultats.
Le travail est la meilleure prière que nous puissions adresser à Dieu. Qui travaille prie.
Je plains ceux qui ne connaissent pas le bonheur de devoir leur fortune au travail de leur père, ni celui de le remercier chaque fois qu'ils la dépensent avec joie.
Le travail doit être à lui seul une raison d'être sociale, et la juste et heureuse société de demain n'est que dans la réorganisation du travail, qui seule permettra une équitable répartition de la richesse.
Le travail quotidien est un devoir auquel personne, à moins d'être un oisif, ne saurait se soustraire.
Le travail est le condiment de l'existence ; la vie sans but et sans effort a quelque chose de fade.
Travail : Survivance de moins en moins acceptable de l'esclavagisme.
Le travail c'est bien une maladie, puisqu'il y a une médecine du travail.
Travail : Était dénoncé par un humoriste éméché après la parution de L'Assommoir comme « la plaie des classes qui boivent » mais peut-il constituer à jeun l'hygiène d'une vie qu'on perd à la gagner ? Ce n'est pas par hasard s'il rime avec épouvantail.
Le propre du travail est d'abréger le temps ; les jours ont des ailes de plomb pour l'homme oisif, et ils s'envolent avec la rapidité de l'aigle pour celui qui travaille.
Le travail est ce qui avilit et dégrade l'homme, ce qui tue la vie. Toute notre énergie se dépense, non à organiser un bonheur dont on n'a même pas l'idée, mais à défendre notre droit de vivre, à disputer notre existence au travail.
Choisis un travail qui dédommage de ce qu'il coûte par le plaisir qu'il procure.
Chacun recevra selon son travail.
Le travail, c'est mon élixir de jouvence. Je ne vieillis pas quand je travaille.
Le travail est un plaisir pour qui est sûr d'en retirer le fruit.
Dire qu'il y a des gens en pagaille qui courent sans cesse après le travail !
L'homme recherche l'oisiveté mais, l'oisiveté ne pouvant être bien appréciée qu'en opposition avec le travail, il recherche le travail pour pouvoir rechercher l'oisiveté. La civilisation est une série de contradictions.
Le travail est le père de tous les vices. Seule l'oisiveté est pure. On dit que l'oisif vole, trompe, filoute. Mais il ne peut pas agir ainsi, car ce sont là des actions, et agir c'est ne pas être oisif.
Le travail me court après, il n'est pas près de me rattraper.
Le travail, pour moi, est une chose sacrée, je n'y touche pas !
J'ai organisé ma vie pour n'avoir que quatre jours de travail par an. Et encore, pas tous les ans.
Sans le travail, on ne peut point pourvoir à sa subsistance.
Le travail est un plaisir, mais il ne faut pas abuser des plaisirs.
Il faut distinguer ceux qui ne désirent d'avoir du pain que par leur propre travail, d'avec ceux qui, au contraire, ne veulent vivre qu'aux dépens du travail des autres, et qui, en demandant le nécessaire pour, l'amour de Dieu, n'ont d'autre plan de vie que de l'acquérir par le moyen de leur oisiveté et de leur ignorance.
Le travail est l'aliment des âmes nobles.
Le talent, c'est l'idée, mais il n'y a pas de talent sans travail.
Le jour où tous les peuples se rendront compte que le repos constitue une atteinte délibérée à la liberté du travail, le cinquième point cardinal de la production mondiale prendra enfin la place qui lui revient.
Le travail n'est pas fait pour l'homme ! La meilleure preuve : ça le fatigue !
Le travail n'est pas un droit, mais un devoir.
Un travail paisible est comme un doux sommeil.
La vie de l'homme doit être une vie sans cesse occupée : le travail lui est aussi nécessaire et utile, que l'oisiveté lui est nuisible et funeste ; les ressources que le travail nous donne sont immenses. Nos amis, nos parents, nous refusent-ils leurs secours dans les besoins les plus pressants ? Le travail nous met en état de pouvoir nous en passer et de ne devoir qu'à nous-mêmes notre heureux sort ! Le travail est le vrai bienfaiteur de l'homme, il entretient l'aisance où la dépendance régnait auparavant. Les richesses les plus justement acquises sont celles qui nous viennent par le travail.
Le fruit du travail est le plus doux des plaisirs.
Ce n'est pas sans travaux qu'on arrive à la gloire.
Le travail est le père de la gloire.
Le souvenir du travail passé est agréable?