Les 74 pensées et citations sur terre. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur terre :
Une éducation normale devrait commencer par des éléments d'astronomie pour donner à l'enfant la notion de la position et de la valeur relative de la terre. Notion infiniment plus précise et plus précieuse que les déclamations des moralistes.
L'homme est le parasite de l'écorce terrestre ; il y naît, il en vit, il y meurt.
La fumée qui monte des vallées, c'est l'encens que la terre envoie à son créateur !
La terre ne se lasse jamais de répandre ses biens sur ceux qui la cultivent ; son sein fécond ne peut s’épuiser. La terre, cette bonne mère, multiplie ses dons selon le nombre de ses enfants qui méritent ses fruits par leur travail.
Les arbres fruitiers, en penchant leurs rameaux vers la terre, offrent leurs fruits à l'homme.
L'homme qui la cultive et la possède se dit éternellement déçu par les infidélités de son amie : La terre.
Puisque la superficie de la mer est supérieure à celle de la terre, pourquoi y a-t-il davantage de jardiniers que de marins ?
Il faut vraiment que la Terre ait le cœur bien accroché pour ne pas perdre sa gravité devant les inconséquences humaines.
Cette terre tant calomniée est belle, ce sont les hommes qui en rendent le séjour douloureux.
Quiconque voyage sur terre et sur mer recueille peu à peu des choses qui, avec assez de peine, se dégagent de la coquille et se remontrent dans la suite de la vie.
Pétrole : Jus de la terre qui sert de bouillon de culture aux taxes.
L'homme est attaché viscéralement au lopin de terre où il a vu le jour. Moyennant quoi, toutes les occasions sont bonnes pour le quitter.
De cette terre arrosée de ses sueurs sort pour l'homme une bénédiction muette et une douceur divine, qu'il sent couler dans ses veines.
La terre impatiente les esprits fiévreux et ardents, elle travaille si lentement.
Vouloir tromper le ciel, c'est folie à la terre.
Donne à la terre, et la terre te donnera.
La terre est bleue comme une orange.
Dieu a mis la terre, l'eau, l'air, le feu à notre disposition et nous devons apprendre à les considérer et à les utiliser avec respect, car ils ne sont pas uniquement des substances matérielles ; ce sont des entités très puissantes, très vastes et habitées par d'innombrables êtres vivants.
La terre n'est que le marchepied de notre destinée, c'est Dieu qui en est le trône. Monter jusqu'à lui par le regard, s'y attacher par le cœur, s'y dévouer par le service, voilà tout ensemble le premier de nos droits et le plus grand de nos devoirs.
Sans le travail de l'homme, la terre n'a qu'une végétation ingrate et comme dénaturée ; elle se couvre de forêts où le soleil ne pénètre plus, de landes sauvages, de plantes dégénérées et éparses, efforts impuissants d'une activité qui ne se suffit pas, toute grande qu'elle soit, et qui appelle à son aide la raison et la main d'un être plus parfait. Sous l'action de l'homme respectueux de la nature, la scène change. On voit le sol perdre peu à peu ses plus austères âpretés ; les plaines se découvrent et permettent à la lumière d'y jeter sa chaleur créatrice ; les eaux, conduites sur des pentes ménagées avec art, répandent au loin l'humidité qui fertilise ; la charrue creuse la terre dépouillée de ses premiers obstacles et y trace des sillons où germera par la semence une vie centuplée ; les montagnes elles-mêmes s'abaissent sous un travail qui ne désespère jamais de la nature, et une végétation savante en gravit les sommets jusqu'au point où la stérilité seule a le droit de les couvrir.
Le Soleil donne lui-même l'exemple de la polygamie, étant le mâle d'un assez grand nombre de planètes, dont notre maman la Terre.
Pauvres humains, sommes-nous autre chose que de la terre fort alambiquée ?
Il n'y a pas de terre au monde dont on ne puisse tirer parti.
Sachons voir à travers les choses de la terre ce qu'elles laissent transparaître du ciel.
Si la Terre était vraiment aussi ronde qu'on le prétend, les ivrognes seraient peut-être moins ronds qu'ils semblent l'être quand ils le sont comme une boule.
Par un attrait qu'on ne peut définir, la terre natale nous appelle toujours à elle, et ne se laisse jamais oublier.
Nous séjournons sur la terre et il faut que chacun chemine en cette route ; le terme, la mort, est le dernier qu'atteignent nos pas.
La terre est notre mère, notre âme vient du ciel.
Il vaut mieux prêter à la terre qu'aux hommes, car celle-ci rend avec usure tout ce qu'on lui a confié.
Il n'est terre qui n'aime à être humectée.