Travaille, sois utile, un bon ouvrier tient sa place dans ce monde ; épargne, si tu peux, pour l'avenir que tu ne connais pas ; donne le bon exemple, tu le dois à tous ceux qui auront le malheur d'être moins bons que toi ; aide-les s'ils en ont besoin ; offre-leur tes conseils, mais garde-toi de les blâmer, car à leur place et dans leur position tu ne peux pas savoir ce que tu aurais fait.
La vie est une œuvre d'art ; elle se fait de travail et d'amour. Celui qui a le plus vécu est celui qui a le plus travaillé et le mieux aimé.
Travaillé le plus possible. Le travail purifie et fortifie ; j'ai besoin de l'un et de l'autre.
Comment aimer un pays où il vous est interdit de travailler ?
J'ai trop d'énergie pour travailler.
Manger pour travailler et travailler pour manger, voilà toute la vie !
Tout homme qui ne travaille pas est fatalement destiné à l'ennui, au vice et souvent au crime. Il n'y a point d'exception à cette règle, et c'est pourquoi les sociétés pauvres ou jouissant d'une fortune médiocre sont plus vertueuses ou moins vicieuses que les sociétés riches qui vivent de leurs rentes, sans avoir assez d'esprit et d'intelligence pour travailler de ce même esprit et de cette même intelligence.
Efforçons-nous de penser et d'avoir de l'esprit pour ne pas être inférieurs à ceux qui gagnent leur vie en travaillant.
Quand on prend la peine de bien travailler on n'a plus à douter du succès.
Travailler pour réjouir quelqu'un, cela relève et ennoblit un homme.
La majeure partie du genre humain, surtout en Europe centrale, feint de travailler, joue continuellement la comédie du travail qui a aussi peu à voir avec le travail véritable que la véritable et réelle comédie avec la vraie vie réelle. Cependant, comme les hommes préfèrent toujours voir la vie comme comédie plutôt que la vie elle-même, qui leur paraît finalement beaucoup trop pénible et aride, une humiliation scandaleuse, ils aiment mieux jouer la comédie plutôt que de vivre, ils aiment mieux jouer la comédie plutôt que de travailler.
Ceux qui vivent sans travailler, quelque position qu'ils occupent, sont des mendiants déguisés.
La patience coûte peu à qui travaille beaucoup.
Pauvre homme qui t'échines à travailler depuis l'âge de dix-huit ans, toi qui paies d'autant plus d'impôts que tu travailles davantage, toi que personne n'aide mais qui aides tout le monde, sois tranquille : c'est à toi et à tes pareils que je pense le plus tendrement. Vous êtes la partie active de la nation. Sans vous, celle-ci ne serait qu'un hospice ou un hôpital. Au lieu de rendre ton fardeau encore plus lourd, je vais tâcher de l'alléger un peu. Tu n'es ni vieux, ni jeune, ni chômeur, ni handicapé. Ce n'est pas une raison pour que tu sois un paria. Je mets à l'ordre du jour cette idée nouvelle en Europe : la récompense de ceux qui font vivre les autres et non leur écrasement.
Rien n'est moins naturel, pour un enfant, que de travailler et se bien conduire. Si les parents ne sont pas constamment sur son dos, il sombre dans la paresse, cède à toutes les tentations et tourne au vaurien.
La société ne peut pas se passer des travailleurs tandis qu'elle n'en irait que mieux sans les oisifs qui l'encombrent ; ce qui veut dire que seuls les oisifs sont à mépriser comme étant inutiles, gens de peu de valeur, gens de rien si l'on en juge par leurs œuvres.
Tous ou presque tous, nous travaillons pour gagner la fortune, nous économisons pour l'agrandir, et quand nous la possédons, dans nos vieux jours, nous ne sommes plus guère hélas en état physique d'en jouir.
La joie d'avoir travaillé est mauvaise, elle empêche de continuer.
Le travail ne laisse que de bons souvenirs : les gens qui ont beaucoup travaillé voudraient pour la plupart recommencer la vie.
Travailler en moyenne huit heures par jour, c'est vendre quotidiennement huit heures de sa vie. La question qui se pose n'est pas tant celle de savoir combien nous la vendons mais comment nous la vendons. La réponse est que nous la vendons mal mais, surtout, à un prix qui retentit lourdement sur nos vies personnelles, conjugales ou familiales.
Il y a des gens qui se flattent d'avoir bien travaillé lorsqu'ils ont travaillé mal à beaucoup de choses.
Travailler est un devoir indispensable pour l'homme social ; riche ou pauvre, puissant on faible, tout citoyen oisif est un fripon.
L'éducation travaille sur nous comme sur une feuille blanche, tandis que nous venons au monde couverts de dessins ébauchés et confus.
Le plus beau présent que Dieu ait fait à l'homme est la nécessité de travailler.
La liberté consiste à travailler quand on veut, et à ne pas travailler quand on ne veut pas.
Travaillez jusqu'à votre dernier souffle. En cotisant à fonds perdu, vous consolerez votre caisse de retraite de l'augmentation de l'espérance de vie.
Aujourd'hui, on ne travaille plus pour réaliser une œuvre, mais pour gagner de l'argent.
Les hommes qui travaillent beaucoup aiment à posséder leur âme en paix, et lorsqu'ils ont au pied une épine, il leur tarde de l'ôter ou de n'y plus penser.
Le riche qui travaille, c'est un pauvre volontaire.
Travailler, et travailler, c'est le moyen de ne jamais s'ennuyer.
Qui travaille de bon cœur travaille à bâtir sa maison future.
Quand on n'a pas travaillé jeune, on ne sait rien, on n'est rien, on ne peut rien.
Rien n'est meilleur que de travailler pour vivre.
Travailler est le meilleur moyen pour garantir son pain de chaque jour.
Un enfant m'a dit : « Je travaille à jouer. » Bon début ! car il laisse espérer que l'adulte jouera à travailler.
Dois-je travailler ou souffrir ? — Imite le Sauveur ; comme lui, souffre et travaille sans cesse !
Curieuse méprise dans la répartition des richesses qui donne tout à ceux qui ne font rien et n'ont besoin de rien, et qui refuse presque tout à ceux qui travaillent et sont dénués de tout.
Qui ne travaille jamais peut connaître les peines de la paresse, mais non ses plaisirs.
Un fainéant c'est celui qui ne travaille pas.
Travailler, agir, c'est courir à la déception, se détruire lentement.
Travailler est une bénédiction quand cela nous aide à penser à ce que nous sommes en train de faire.
On travaille avec tous au bonheur de tous.
Que veut dire travailler avec amour ? C'est tisser une étoffe avec un fil tiré de votre cœur, comme si votre bien-aimé devait porter un jour cette étoffe.
Travailler avec amour, c'est insuffler dans toutes les choses que vous fabriquez l'essence de votre esprit.
C'est en travaillant que le temps passe.
En travaillant assidûment il faut peu de chose pour changer le médiocre en bon et le bon en excellent.
Celui qui travaille pour l'avenir ne vit guère dans le présent, il est presque toujours étranger au tourbillon qui entraîne.
Femme qui ne file guère a toujours mauvaise chemise.
La plupart des hommes aiment mieux rester dans l'ignorance que de travailler pour en sortir.
Je vous souhaite de travailler heureusement et fructueusement, c'est-à-dire, tout ce que je ne fais pas !
Qui ne travaille étant jeune travaille étant vieux?